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Crise dans les médias - Page 54

  • Provincialiser

    Il s'agit d'une série de réflexion sur les mécanismes de pensée sous-jacents aux médias. Ce billet fait partie de la série commencée avec: 1. Présentiser 2. Négativiser 3. Décontextualiser 4. Mythologiser 5. Provincialiser 6. Dominer 7. Emouvoir

    5. Provincialiser

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    L'information, en France, se focalise sur le national. Ainsi, par exemple, l'Europe ne représente que 2,5% des journaux télévisés.

    Et parmi les infos nationales, celles concernant le chef de l'Etat occupent une large place. Notre pays a une tradition jacobine. Cette tradition est renforcée, sans doute, par le caractère de l'actuel président, mais il n'a rien inventé.

    On le voit, même dans un événement modial comme les JO, le traitement est national. Les médias ne parlent quasiment que des sportifs français.

    Or, avec mondialisation, tout se tient. La France n'est qu'une province de l'Europe, elle est liée aux Etats-Unis, à l'Afrique et au reste du monde.

    Traiter les informations sous un angle national contribue à un provincialisme de mauvais aloi. Cela n'aide pas à mieux comprendre les grands mécanismes qui régissent le monde.

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  • Mythologiser

    Les médias nous informent. Et informer c'est donner une forme. Dans cette série de billets, je souhaite étudier les différentes manières de penser que les médias nous imposent, presque de façon inconsiente.

    Ce billet fait partie d'une série: 1. Présentiser 2. Négativiser 3. Décontextualiser 4. Mythologiser 5. Provincialiser 6. Dominer 7. Emouvoir

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    Dans le flux des informations, on peut croire que les événements se suivent et ne se ressemblent pas. Or, c'est tout le contraire qui se produit. Les mêmes schémas reviennent sans arrêt. Et ces schémas on peut les appeler des mythes.

    On peut se demander si ces schémas récurrents n'ont pas la fonction que les récits mythologiques avaient par le passé.

    Comme l'écrit Peter Sloterdijk:

    "Le mythe est un système de récit qu'on répète inlassablement avec de petites variations pour réagir à la réalité mouvementée du réel et le réduire toujours à un modèle identique de ce qui se passe au fond dans le monde depuis toujours.

    Dans le même temps, il existe une mythologie moderne qui fonctionne comme un système pour gérer l'oubli collectif. C'est-à-dire organiser le présent comme un bain permanent d'information. Nos informateurs sont, d'un point de vue systémique, des mythologues qui contribuent en permanence à l'abolition de la mémoire. L'information sur le présent disparaît derrière le mythe qui crée un univers où, au fond, rien ne change. On raconte une multiplicité d'histoires pour ne pas avoir à raconter LA grande histoire qui est la route de la Révolution."

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  • Le Dalaï Lama à Aubry-le-Panthou

    Le Dalaï Lama est en France. Il s'est arrêté jeudi dans un petit village de l'Orne, pour lancer le projet d'un Temple pour la Paix devant 1 700 personnes, dont votre serviteur.

    Jeudi dernier, j'étais à Aubry-le-Panthou, dans l'Orne, pour rencontrer le Dalaï Lama.

    J'étais à une centaine de kilomètres de là et je me suis dit que ce serait bête de ne pas prendre sa voiture pour voir ce personnage. Curiosité, intérêt et une bonne dose d'excitation. En ce morne mois d'août, à part les JO, de quoi on entend parler?

    Bref, je me suis levé de bonne heure... J'avais prévu de me lever à 6 h... et je me suis réveillé à 4 h 30. C'est ce qui m'a permis de voir la finale d'Alain Bernard. Je ne vous explique pas qui est Alain Bernard? Plus connu que le Dalaï Lama...

    J'ai donc pris la voiture... Un peu de musique... Et, vers 8 h, je me suis retrouvé à Aubry-le-Panthou, village de 93 habitants. Dans une ambiance bouddhiste à souhait, avec les rayons du soleil qui rasaient la colline. Au fond, on aperçoit le stupa...

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    Le stupa... C'est ce grand bâtiment blanc se terminant par une pointe dorée dressée vers le ciel. Une sorte de temple. Comme nous l'a expliqué le Dalaï Lama, le stupa sert au pratiquant à accomplir des circambulations. En gros, ça consiste à tourner autour du stupa un nombre de fois requis tout en récitant des mantras.
    Le stupa d'Aubru-le-Panthou, ou plutôt de Vajradhara-Ling, est flanqué d'un drapeau bleu-blanc-rouge très républicain. On se demande ce qu'il fait là. En bonne compagnie à côté d'un drapeau européen et d'un drapeau tibétain. Si Hu Jintao savait ça!
    Vers 8 h 15 nous sommes entrés dans le centre. Et nous avons attendu près de deux heures. Le Dalaï Lama était programmé pour 10 h.
    Dix heures pile. Trois hélicoptères de la gendarmerie se posent dans le champ qui jouxte le centre bouddhiste. Ce qu'il faut préciser c'est l'important dispositif de sécurité qui entoure le Prix Nobel de la Paix. Des gendarmes dans les champs et les routes environnantes. Et, à l'entrée, tous les visiteurs passés au détecteurs de métaux.

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    Le Dalaï Lama entre dans le centre. Mais pour les visiteurs il faut encore attendre. En effet, Sa Sainteté, comme l'appelle le speaker, va d'abord rendre visite aux moines.
    Il passe cinq bonnes minutes avec eux. Il bénit le temple. Les moines lui offrent un mandala, peinture de forme circulaire.
    Puis il entre dans un autre édifice qui contient un moulin à prière. Il bénit le moulin à prière.
    Et, enfin, le Dalaï Lama se présente devant le stupa et devant nous. Un bon millier de visiteurs.Il est précédé d'un groupe de moines. Certains portent des coiffes orange et jouent de la trompette tibétaine. Des cymbales retentissent. L'air se remplit d'encens.  On se croirait dans Tintin au Tibet...

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    Le Dalaï Lama passe devant nous. A peine le temps de le photographier.
    Les visiteurs, autour de moi, sont pour la plupart des adultes et des personnes âgées. Mille sept cent personnes. Il y a beaucoup d'habitants de la région. Visiblement, ils connaissent le centre Vajradhara-Ling. Ils l'ont déjà visité. Le public compte aussi des pratiquants bouddhistes.
    Devant le stupa, les organisateurs ont aménagé un espace pour les "VIP" et la presse. Parmi les personnalités, un évêque.
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    Le Dalaï Lama s'installe dans le stupa, à la tribune. Il va parler. Mais, avant cela, le maire d'Aubry-le-Panthou prend la parole.
    Jean-Claude Laigre est ému, ça se sent. Ce maire d'une commune de moins de cent habitants se retrouve sous le feu de l'actualité. Son discours porte sur la paix. Il rappelle le projet du centre d'Aubry-le-Panthou: construire un Temple pour la Paix. Si Tenzyn Gyatso, le Dalaï Lama, est là aujourd'hui, c'est pour lancer ce projet. Le discours de M. Laigre comporte plusieurs allusions à l'actualité et notamment au contexte chinois.
    Puis le Dalaï Lama prend la parole. Enfin, dirions-nous. Il a su ménager ses effets, se faire désirer.
    C'est un discours très simple, sur l'amour et la compassion. Un discours sur le rapprochement des traditions religieuses. Pas d'allusion politique. Le Dalaï Lama est là pour faire partager son expérience, échanger. Comme souvent, il cherche à faire sourire son auditoire. Il parle en tibétain, traduit en français.
    Après ce discours d'à peine une demie heure, il lève l'audience, sans cérémonie.
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  • Décontextualiser

    Penser autrement, c'est ce que j'aimerai pouvoir faire en lançant cette petite série d'articles. Tout d'abord en observant quelques mécanismes de pensée induits par les médias.

    Voici les autres billets de la série: 1. Présentiser 2. Négativiser 3. Décontextualiser 4. Mythologiser 5. Provincialiser 6. Dominer 7. Emouvoir


    3. Décontextualiser

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    Le journal télévisé (mais aussi la radio ou le journal) sortent un événement de son contexte. Par exemple, pendant que monsieur Michu découpe la dinde, un rebelle Ouighour apparaît dans le petit écran pour lancer d'un air martial les dernières menaces d'Al Qaïda contre la Chine.

    Cette décontextualisation va de pair avec le caractère arbitraire de la présentation de l'information. Autrement dit, on passe du rebelle Ouighour à un accident sur l'autoroute des vacances avant d'enchaîner sur le dernier spectacle de Laurent Gerra. Trois catastrophes à la suite, ça fait beaucoup! ;-)

    Là encore, on peut se demander quel lien on peut faire entre ce tendance à la décontexualisation et notre façon de penser.

    Photo: France 24

  • Négativiser

    Poursuivons cette série commencée avant hier. Comme je l'écrivais, penser autrement reste à inventer. Peut-être en analysant les biais induits par l'industrie des médias.

    Voici les autres billets de la série:

    1. Présentiser 2. Négativiser 3. Décontextualiser 4. Mythologiser 5. Provincialiser 6. Dominer 7. Emouvoir

    2. Négativiser

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    Les trains qui arrivent à l'heure n'intéressent pas les médias. D'où le flot d'informations catastrophiques qui s'abattent sur le brave pékin qui regarde le journal télévisé.

    On peut se demander si ces informations négatives, ces faits divers atroces, ces guerres moyennes orientales et ces krachs boursiers, n'ont pas un impact négatif sur notre moral.

    Mais, d'un autre côté, on peut évoquer un effet de catharsis produit par l'information. Autrement dit, du négatif surgirait le positif, par un effet de purification...

    Par ailleurs, on ne peut que souligner le ridicule de cette loi roumaine obligeant les médias à diffuser des informations positive (elle n'a finalement pas été validée).

    photo L'Express

  • Marianne, Zola et la commentosphère

    Vendredi, j'ai été interviewé par un journaliste de la Radio Suisse Romande, Alain Maillard. A écouter ici:

    podcast

    Le journaliste voulait revenir sur un article où j'évoquais la difficulté à gérer des commentaires parfois haineux. Le problème est d'actualité, semble-t-il. Y aurait-il un problème avec la "commentosphère", comme le suggère Narvic?

    Sur le site de Marianne, un journaliste s'emporte contre les commentateurs. Lesquels mettaient en cause un article rédigé par un blogueur chinois, surnommé Zola, collaborateur de Marianne. Y a-t-il eu "manipulation", comme le soutiennent quelques commentateurs ou tout simplement publication d'informations non vérifiées? A vous de juger sur le site de Marianne.

    Les commentaires les plus élogieux ne sont pas toujours les plus utiles...

  • Présentiser

    Aujourd'hui je début une série d'articles que j'appelle "penser autrement". En réalité, il s'agit d'une série de réflexion sur les mécanismes de pensée sous jascents aux médias. Donc, j'essaie de décrire comment nous pensons, du fait des médias. Pour essayer de "penser autrement".

    Voici les autres billets de la série: 1. Présentiser 2. Négativiser 3. Décontextualiser 4. Mythologiser 5. Provincialiser 6. Dominer 7. Emouvoir

    Bref, penser autrement c'est ce dont je ne parle pas...

    1. Présentiser

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    Les médias nous focalisent sur l'actualité, ce qui se passe en ce moment. Et le lendemain, on passe à autre chose.

    Cette tendance des médias est souvent critiquée. Elle conduit à porter un regard superficiel sur les événements. Elle néglige la dimension historique des faits.

    On peut se demander dans quelle mesure cela induit une façon de penser. Et incite au court termisme. Or, on connaît les ravages du court termisme, notamment dans le domaine financier.

    source: JO Pekin

  • Retour

    Aujourd'hui je suis de retour après quelques jours sans bloguer. Mais j'ai continué à lire des blogs, à commenter et j'ai aussi mis à jour un autre blog, équilibre précaire.

    J'ai notamment observé quelques clapotis dans la blogosphère...

    Vous avez peut-être suivi ça? Ca se passait tout en haut du classement wikio avec des méthodes d'un autre temps!

    Surchauffe? Fatigue? Manoeuvres pour attirer des visiteurs?

    Le phénomène est toujours le même: les polémiques attirent les visiteurs, qui eux-mêmes attirent de nouvelles polémiques...

    Toujours est-il que certains annoncent (une ènième fois) la fin des blogs.
    Modérer des commentaires, c'est un plaisir. Mais quand les commentaires deviennent trop nombreux, il y a surchauffe. Ça prend beaucoup de temps, de l'énergie et, comme on n'est pas payé pour ça, on peut être tenté de tout envoyer valser.
    C'est ce qui est arrivé à Versac. Il a fermé son blog, on s'en souvient. La pression de certains commentateurs a joué dans sa décision d'arrêter. Pendant des mois il a subi cette pression. Parfois même elle s'est tranformée en agression. Des apprentis blogueurs stars l'ont  ciblé. A la fin, il a craqué...
    Au fond, c'est toujours la même histoire. Un blogueur acquiert une petite notoriété et il se retrouve enseveli sous les commentaires... Guy Birenbaum a connu ça avec un blog populaire (environ 40 000 visites par mois, selon ses dires). A la fin, chaque billet attirait des centaines de commentaires. Du n'importe quoi. Des trolls en pagailles. A la fin, Guy a fini par craquer. Il a annoncé qu'il arrêtait son blog dans une interview à Natacha Quester-Séméon, c'est dire s'il était déprimé!
    Loïc Le Meur a connu à peu près la même trajectoire. Trop de commentaires, trop d'agression contre ce gentil entrepreneur. Lui n'a pas fermé son blog. Mais il a arrêté d'écrire pour le grand public. Il n'écrit plus que des billets business.
    En gros, quel est le problème?
    Le problème c'est d'avoir à gérer trop de données. Etre un blogueur populaire, ou un utilisateur top niveau d'un réseau social, cela signifie avoir plein de réponses à donner à des inconnus. Bref, rendre un service pour lequel on n'est pas payé. Cela demande donc une grande générosité...
    Les trolls, consacrés par le New York Times, brouillent le jeu. Ils sont coriaces. Ils s'infiltrent partout où ils voient une discussion à bordéliser.
    Michel a raison de dire que la plupart des blogs sont sans intérêt. Et les commentaires ont encore moins d'intérêt.
    Cela dit, on peu essayer de trouver des solutions. Trois petits conseils:

    1) Oublier l'ego
    Si l'on cherche à comprendre pourquoi et comment certains blogueurs craquent, on s'aperçoit qu'il y a un problème lié à l'ego. Un blogueur "star" s'imagine être très fort, très "influent", ou en tout cas plus malin que ceux qui commentent chez lui. Et puis, c'est l'engrenage: on publie ses statistiques, on exhibe le bouton wikio avec son classement dessus, on déclenche des polémiques avec d'autres blogueurs "stars". Et, forcément, au bout d'un moment, on craque...
    Cette façon de faire résulte d'une mauvaise appréciation des choses. Devenir une blogueur "star", il n'y a pas de quoi s'en vanter. Ca veut juste dire qu'on a passé plus de temps que les autres à répondre à des commentaires et à des mails. Ça veut dire qu'on est représentatif d'un courant, d'un milieu sociologique, d'une tendance. C'est tout. La microcélébrité ça n'a rien de valorisant...

    2) Se fondre dans le flow
    Le blogueur n'a pas à être un leader. Enfin, sauf s'il le souhaite vraiment. Qui peut dire que Ronald est le chef des left blogs? Ou que François est le grand gourou des freemen? Sur Internet ça ne marche pas comme ça! On ne donne pas d'ordre, on séduit.
    De la même façon, l'auteur d'un blog ne sait pas réellement où il va. il peut avoir un but, des objectifs. Mais les choses sont plus compliquées car un blog est multidimensionnel. On peut avoir pour objectif de grimper dans le classement wikio, mais ça se fera peut-être au détriment du nombre d'abonnés, ou du nombre de visites. On peut préférer publier des rédactionnels rémunérés ou recevoir des cadeaux promotionnels.
    De plus, un blog n'a aucune valeur en lui-même. Il est  situé au sein d'un réseau. Ce réseaux est une intrication de plusieurs groupes. Par exemple, Crise dans les médias est proche des blogs qui parlent des médias, il fait partie des left blog et des freemen, il est proche de certains  blogs qui parlent de décroissance, etc. L'essentiel, pour bien vivre dans cet environnement un peu sauvage, c'est de s'insérer dans un réseau, d'en comprendre les règle et d'y évoluer en bonne intelligence. La règle c'est d'abord d'écouter avant de s'exprimer.

    3) Ne pas sur réagir
    Certains commentaires, certains billets de blogs vous donnent envie de réagir. Vous êtes pris à parti, vous voulez répondre. Normal. Quand les blogueurs s'empaillent, ça peut aller très loin. C'est à vous de savoir dire stop.

  • Une dernière pour la route!

    PAUSE!

    Ce blog va rester en pause jusqu'au 15 août.

    Pour patienter, je vous laisse avec un titre de Gainsbourg. Et j'en profite pour faire un lien vers les 10 derniers blogs qui ont cité Crise dans les médias, selon technorati: Romain, Poireau, Jon, Café Croissant, Nicolas, Irène, Falcon, Antoine, Sarkofrance et Ronald. Merci à eux.

    HEY MAN AMEN!

    Ca fait plaisir de retrouver sur youtube ce titre de Gainsbourg. Hey man amen. Vous vous en souvenez?

    C'est le dernier titre de Gainsbourg, je crois. Il est sorti uniquement en 45 tours (comme on disait à l'époque).

    C'est une chanson sur son fils. Une chanson sur la mort.

    J'aime bien cette époque du dernier Gainsbourg. Ses deux albums new yorkais, dont ce titre est en quelque sorte le complément, l'opus final. Une dernière pour la route.

  • CQFB

    Il faut bloguer, il faut bloguer, il faut bloguer...

    Chaque jour, le blogueur éprouve cette nécessité...

    C'est comme les battements de son coeur, ce leitmotiv... Publish or perish

    Vite, vite! Que se passe-t-il dans mon agrégateur? Y trouverais-je un lien à répercuter? Celui-ci, pas mal!

    Non! Je ne vais pas parler de Jack Lang, tout de même. Parler des blogueurs?

    "La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas... blogué" (d'après Chamfort)

    CQFB.

  • François Mitterrand 2007: dernière

    Vous vous souvenez de Miterrand 2007, ce blog parodique? Son auteur, Bruno Roger-Petit, vient de se dévoiler. Et il paraît qu'il va publier aujourd'hui une ultime note...

  • Rescuetime: où passez votre temps sur le net?

    rescue time.JPGJ'ai installé rescue time. Vous connaissez peut-être ce programme. Il mesure le temps que vous passez sur différents sites Internet.

    L'objectif étant, par exemple, de repérer les sites sur lesquels vous gâchez beaucoup de temps.

    Le maniementde ce programme est enfantin.

    1) inscrivez-vous sur le site

    2) installez le programme sur votre ordinateur

    3) laissez agir

    4) rendez-vous sur le site avec votre mot de passe et constatez l'étendue des dégât...

    A noter: ce programme est gratuit

     

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    Améliorer le temps d'affichage d'un blog

    10 conseils pour mieux écrire

    Faire une sauvegarde de son blog

    Grimper dans le classement wikio: 7 conseils en vidéo

    Blog: 10 erreurs à ne pas commettre 

    Goldorank, pour calculer votre rang dans les moteurs de recherche 

    Gagner de l'argent avec son blog: les conseils des pros 

    Les sept vertus du blogueur 

    Le blog pour les blogueurs (quelques liens)