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Crise dans les médias - Page 55

  • La faute professionnelle de Philippe Val

    Un fait m'interroge dans l'affaire Siné, viré de Charlie Hebdo après une chronique jugée antisémite. C'est que Philippe Val, le patron du journal, a publié la chronique sans l'avoir lue. N'est-ce pas une faute professionnelle? N'est-il pas juridiquement responsable, au cas où quelqu'un attaquait le journal en diffamation?

    Philippe Val est directeur de la publication et de la rédaction de Charlie Hebdo (wikipedia). Donc, en toute logique, il me semble que Philippe Val est responsable si le contenu est jugé diffamatoire. Qu'en pense Maître Eolas?

    "Philippe Val n'a pas lu cette chronique, parce qu'il déteste tellement Siné qui fait partie de la vieille garde de Charlie Hebdo, d'un gauchisme imbécile qu'il exècre, dixit Philippe Val, qu'il ne les lit plus", explique avec poésie Claude Askolovitch, journaliste au Nouvel Observateur et commentateur éminent de Crise dans les médias.

    Ce qui est étonnant, c'est que Siné a été viré, non à cause de sa chronique, mais parce qu'il a refusé de s'excuser pour l'avoir publiée. Si je comprends, virer Siné à cause de sa chronique, cela aurait été reconnaître la faute de Philippe Val: l'avoir publiée sans la lire.

    "Interrogé par nouvelobs.com, Philippe Val a déclaré que le caricaturiste n'avait pas été renvoyé par Charlie Hebdo mais qu'il a été "mis devant une alternative, il pouvait s'excuser mais ne l'a pas fait. C'est son choix qui l'a exclut et il l'a fait librement". Philippe Val a insisté sur le fait que Siné avait transgressé la charte de l'hebdomadaire". "Ce qu'il a fait c'est contraire aux valeurs de Charlie Hebdo. La charte proscrit les propos racistes et antisémites". "C'est juste inacceptable". (Nouvel Observateur)

    Si c'est si inacceptable, pourquoi l'avoir publié dans votre journal, monsieur Val?

  • Les médias roumains: si loin de nous

    Les médias roumains, nous en parlions il y a peu. Un commentaire d'un français expatrié en Roumaine m'a permis d'en savoir plus. 

    La roumaine, près de vingt ans après Ceaucescu, est sorti d'un système de contrôle total des médias par le pouvoir. Aujourd'hui, un certain pluralisme s'esst installé, avec toutefois des tentations de revenir à l'ancien régime, avec le vote (aujourd'hui retoqué) d'une loi d'un autre temps.

    Liberté de la presse: bilan mitigé

    Selon RSF (Reporters sans frontière):  "Le premier trimestre de l’année 2006 a débuté avec la mise en examen de deux journalistes pour “violation du secret défense” et par la fermeture d’un site Internet parodiant celui du ministère des Affaires étrangères. Ce bilan mitigé est contrebalancé par la mise en chantier d’une vaste réforme du code pénal."

    Les développements survenus dans le dossier de la réforme du code pénal, et notamment la dépénalisation de la “diffamation”, sont encourageants. Le 6 juin, le Parlement a voté le retrait du code pénal de la diffamation, des insultes et de la calomnie, qui ne peuvent plus désormais donner lieu à des peines de prison. La ministre de la Justice, Monica Macovei, a initié une refonte du code pénal qui devrait introduire des changements significatifs.

    Les roumains attachés à la liberté d'expression

    Depuis que la Roumanie a adhéré à l’Union européenne l’année dernière les Roumains sont très attachés à la liberté d’expression. Aujourd’hui ils appellent le président Traian Basescu à refuser de promulguer la loi votée par le Sénat.

    « Le fait que tous les sénateurs aient voté cette absurdité nous signale que la Roumanie n’est pas à l’abri des dangers, déclare Mircea Toma. Peut-être qu’une future loi obligera les radios et les télévisions à diffuser en intégralité seulement des bonnes nouvelles. C’était comme ça à l’époque de Ceausescu. Pour le Sénat de Roumanie Ceausescu n’est pas mort, il est seulement endormi. » (France 24)

    Années 1980: l'isolationnisme

    Plongée dans l'isolationnisme informationnel, la Roumanie est devenue, vers la fin des années 1980, la championne du contrôle médiatique par l'appareil d'Etat. Ceausescu avait insisté pour que tous les journalistes deviennent membres du parti Communiste Roumain et qu'ils défendent ouvertement, dans leurs écrits, la doctrine et l'idéologie communistes. (source)

    Dépasser l'héritage Ceausescu

    La révolution de 1989 a libéré la voix de la société civile et fait renaître les médias roumains en tant que sources d'information viables. Pour la première fois depuis 50 ans, les journalistes roumains pouvaient exercer leur métier et s'exprimer librement.

    La plupart des journalistes actifs dans les médias roumains après 1989 étaient ceux qui s'étaient fait les chantres du régime communiste. Ainsi, du jour au lendemain, ils se sont vus obligés de critiquer férocement un régime et un système sur lequel ils avaient construit leur carrière. Si les codes et les lois communistes ont rapidement été jetées à la poubelle, il s'avère plus difficile de se débarrasser des méthodes et des concepts communistes enracinés dans les mentalités des journalistes par la force de la socialisation.

    1989: les médias servent d'exutoire

    Par conséquent, les médias roumains d'après 1989 ont d'abord servi d'exutoire et de moyens de se défouler contre l'ancien régime plutôt que d'outils d'information impartiaux. Les mots interdits avant 1989 tels que démocratie, liberté, transition, économie de marché ont été utilisés à toutes les sauces, abondaient dans les pages des journaux et faisaient la une des émissions de radio et de télévision sans que les médias en donnent toutefois une définition claire des concepts en question.

    Manque de pluralisme

    Or, selon Freedom House, en 2004, la Roumanie se trouvait en première place des pays candidats à l'UE en ce qui concerne la monopolisation des médias de masse par l'Etat.(3) Au cours des dernières années, et malgré le nombre de plus en plus important de quotidiens nationaux et locaux (très présents sur internet également) et de postes de radios et de télévision, les médias roumains n'ont offert au public qu'un nombre assez limité d'opinions et d'informations.

    Enfin, voici une reproduction du commentaire laissé sur ce blog. Des informations que je n'ai aucun moyen de vérifier mais qui me semblent refléter une certaine réalité vue au travers des yeux d'un expatrié _ si vous avez d'autres expériences à nous livrer, cela pourrait être éclairant:

    "Les médias sont tenus par quelques hommes d'affaires. Ils détiennent des chaînes d'information, des journaux très nombreux. L'un d'eux est le président d'honneur du parti conservateur considéré comme centre gauche mais véritablement à droite. Le second est un richissime homme d'affaire dont les intérêts économiques sont liés à un autre parti politique. Il faut savoir, par exemple, que Bucarest qu'il faut reconstruire est une mine d'or pour les entreprises privées. Par exemple, les bordures de trottoirs peuvent facilement être changées trois fois en 2 mois. Il paraît qu'il y a des microfissures invisibles à l'oeil nu.
    L'un des entrepreneurs au bras d'un parti politique est justement un propriétaire de nombreux journaux et d'une chaîne d'information. Les médias créent des campagnes de diffamation sans arrêt, tout le temps contre les personnages opposés au PDL. Et il est d'ailleurs fort étrange que trois journaux ne font pas un seul euro de bénéfice depuis fort longtemps mais restent subventionnés par ces hommes d'affaires.

    Evidemment le Parti National Liberal au gouvernement (opposé au président PDL) a aussi son journal Adevarul. Un autre journal (appartenant au Parti conservateur proche du PSD, opposition parlementaire, il y a trois acteurs politiques) a d'ailleurs porté plainte pour obtenir du gouvernement les enregistrements d'une séance (et oui on peut le faire en Roumanie) où le fameux propriétaire (Dinu patriciu) aurait été présent. Comment a-t-il fait sa fortune ? D'une façon simple il a racheté l'entreprise de pétrole Rompetrol, car il y a du petrole en roumanie, à l'Etat, puis il l'a revendu à l'etat du Kazakstan. Après la vente il est entré dans le top des 20 plus riches du monde, coiffant la moitié des russes au dernier virage.
    Autre anecdote, avant que commence une interview avec le président, le journaliste devenu entre temps "interviewer préféré du président", s'est vu montré son dossier de Securitate. Je crois qu'il a compris que s'il mordait trop fort, il aurait ce jolie dossier sur la table.

    Quant à la TV publique, elle est au pied du pouvoir en général.
    Par contre, pour ce qui concerne le Parti conservateur, là c'est la rentabilité capitaliste, si tu réussis alors tu es bien payé, tu n'as pas de bon résultat, c'est dehors. Mais tous les moyens sont autorisés. Et donc ça donne dans le hard sensationnel, difficile à supporter à la TV. Moi je me demande l'effet que ça peut avoir sur les gens.
    Evidemment, les médias du Parti conservateur eux attaquent les partis ennemis. D'ailleurs parfois tout à fait légitimement, pour un histoire de corruption ou autre. Ce n'est pas toujours illégitime.

    Donc voilà en gros, cette information est une diversion parce qu'il y a des problèmes beaucoup plus sérieux que cela. Mais, ces problèmes nous renvoie l'image du problème des médias un peu partout et notamment... en France.

    La loi du 50/50 : mon avis, c'est qu'elle part d'une bonne idée, mais qu'il y a confusion des instruments. La loi c'est pas fait pour ça. Mais comme l'autorité audiovisuelle est un instrument du président aujourd'hui, ils n'ont plus les moyens de normaliser quoi que ce soit. Donc ils ont pris la loi pour instrument en toute sincèrité, je crois, ce qui est assez rare pour être souligné, mais de manière imbécile. De toute façon, elle sera défaite tôt ou tard. C'est une autre spécialité locale, les lois anticonstitutionnelles.

    Enfin, le rapprochement avec Ceausescu. Il faut vraiment laisser tomber les phatasmes. Sous Ceausescu, dans les années 80 c'était pas 50%, c'était 100% des exploits de Ceausescu 2 heures par jour et rien de plus. C'était aussi 200G de viande par mois etc. Faire la queue toute la nuit pour ça, et entendre que grâce au président camarade Ceausescu et son furieux génie la productivité est en hausse, c'est autre chose. IL faut pas donner justement dans ce sensationnalisme.

    J'espère que je suis clair, enfin faudrait que j'écrive un roman, là -dessus parce qu'après vous avez la corruption entre les analystes politiques, les universités, les médias et les partis politiques..."

  • Le clochard et les pigeons

    pigeons.jpgC'est déjà bien assez pénible de ne pas avoir de toit, quand vous réussissez à dégotter un plat chaud, les bêtes sauvages vous assaillent. En l'occurence des volatiles. Les sales pigeons de Paris.

    C'est ce que devait penser ce clochard assis sur un banc, place des Gobelins. Il tenait sur ses genoux un sac en papier Mac Donald's. Le menu réglementaire, celui qui fait de vous un homme dans la norme. Celui qu'avalent en hâte les employés du quartier. Ces jeunes à peine sortis du nid qui confondent pause repas et pique nique sponsorisé.

    Les pigeons, par l'odeur alléchés, entourent le clochard. Il aurait bien envie d'ouvrir le sac, mais alors ce serait la ruée.

    Pourquoi ils viennent systématiquement sur lui, les pigeons?

    Et, aussi, pourquoi il ne le mange pas dans le restaurant, son hamburger? Parce qu'on lui ferait comprendre qu'il pue trop?

    Non, même pas.

    Non.

    Tout simplement parce que, trop acoutumé à crêcher sous les étoiles, il ne les supporte plus, les toits, les murs.

  • Images de Chine

    chine autobus.jpg

    Très jolies les photos de Richard. Le sympathique blogueur et photographe parisien (13ème 12ème arrondissement) est en vacances au pays de monsieur Hu. Il mitraille à tout va, comme chaque fois que je l'ai croisé (exemple, ici).

    Ses photos sont pleines de poésie.

    Il nous donne à voir autre chose que la Chine effrayante que nous montrent les médias. Juste des photos de vacances.

  • D'où viennent les chaînes de blogs (et les mèmes)?

    christopher poole.jpgChristopher Poole, 20 ans, fondateur de 4chan.org, vient de dévoiler son identité. Il espère monnayer son site qui donne de la matière aux chaînes de blogueurs depuis 2003.

    Les blogueurs aiment les chaînes, ces suites de billets qui sautent de blog en blog. Les mèmes (wikipedia) ça doit être le nom technique pour désigner la chose. Que les spécialistes me corrigent...

    On a retrouvé le gars qui est à l'origine de toutes les chaînes et autres trucs rigolos. C'est un ado américain. Christopher Poole, une vingtaine d'année.

    Christopher Poole est le fondateur de 4chan.org, le site à l'origine de nombreuses chaînes. La plus connues est celles des lolcats, ces chats farceurs, mis ) l'honneur par un blog célèbre.

    Qu'est-ce que 4chan.org? Un site sur lequel on peut poster tout et n'importe quoi. Surtout n'importe quoi. Ce site est même parfaitement immonde. Les pire et le pire s'y côtoient.

    Mais aujourd'hui Christopher se sent pousser des ailes. Son site contient près de 150 millions d'images et autres billets. Il a fait l'objet d'un article dans le Wall Street Journal. Bref, ça sent bon pour lui. La revente de 4chan.org se profile pour quelques millions de dollars...

    Ces articles peuvent vous intéresser:

     

     

     

  • Etes-vous motivé?

    Etes-vous motivé au travail?

    Motivation: le mot est lâché. Le philosophe Guillaume Paoli se penche sur ce problème, dans son dernier livre, Eloge de la démotivation. Un titre provocateur pour parler de la motivation, le moteur de toutes nos activités. 

    comment motiver les salariés?

    Le monde du travail est confronté à cette problématique: comment motiver les salariés. Parce que, explique Guillaume Paoli, les salariés (les humains en général) ont tendance à se démotiver. C'est humain...

    Enfin, c'est un peu plus compliqué que ça. Le livre commence par l'image de la carotte et du bâton. Pourquoi l'âne avance-t-il, alors qu'il n'attrape jamais la carotte? Et pourquoi craint-il le bâton alors qu'on n'a même plus besoin de le frapper? Traduit en langage humain, cette parabole proverbiale permet d'entrer dans les méandres de la motivation. L'essentiel est d'avoir un objectif, pas forcément de l'atteindre.

    la motivation est pervertie

    Dans une économie où cette logique des "marchés" est omniprésente, la motivation conduit en fait les travailleurs à simuler. Lettre de motivation simulée, comportement de travail simulé, implication simulée... la "motivation" est "pervertie" explique le jeune philosophe français. (Rue89)

    Paoli se penche aussi sur le problème de l'excès de travail. Quand le travail devient une drogue. Et c'est là qu'il a cette intuition, assez tortueuse, convenons-en: se démotiver. La situation actuelle est celle d'une lutte asymétrique entre la "classe supérieure mondialisée" et la masse des humains, travailleurs motivés mais pas trop, et surtout qui n'ont pas le choix. 

    tirer le frein

    Dans les dernières pages de l'essai, l'ancien participant du mouvement berlinois des Chômeurs heureux prend nettement ses distances avec les néo-marxistes habitués de sa maison d'édition. Il ne sent pas plus d'affinités que ça avec la prose d'un Alain Badiou ou les nostalgies marxistes des penseurs de la Ligue. Il n'aime pas les "Français donneurs de leçon", bien éloignés des humaines préoccupations d'inactifs.

    A l'appui de sa démonstration, il cite Etienne de la Boétie, Alexis de Tocqueville et Walter Benjamin qui, en voyant les Insurgés de 1830 tirer sur les horloges, écrit:

    "Marx dit que les révolutions sont les locomotives de l'Histoire. Mais peut-être en est-il autrement. Peut-être les révolutions sont-elles le moment où le genre humain voyageant dans ce train tire le frein d'arrêt d'urgence." (Rue89)

    Lire ailleurs:
  • Media Guardian 100

    01BrinPage.JPGPas très surprenant, les deux fondateurs de google se retrouvent en tête de ce classement des personnes les plus influentes dans le monde des médias britaniques.

    Publié par le Guardian le classement évalue l'influence économique, culturelle et politique de ces professionnels des médias en Grande-Bretagne. (lien)

    A lire ou à relire:

  • Posterous: bloguer en envoyant des mails

    Posterous.com est le moyen le plus simple pour bloguer. Vous envoyez un mail à cette adresse: post@posterous.com. Et, paf, vous avez créé un blog.

    Ensuite, pour l'alimenter, il suffit d'envoyer des mails à cette  adresse. On vous donne une URL. On peut en changer. Par exemple: http://crisedanslesmedias.posterous.com

    Cet outil étonne par sa simplicité. Mais quand on a un vrai blog, pas besoin de ce service. Et si on veut un microblog, twitter est mieuxcar il vous relie aux autres utilisateurs. Donc, fausse bonne idée?

  • Médias roumains: la loi sur les infos positives retoquée

    Libé.jpgLes médias roumains ne seront pas contraints de publier 50% d'information positives (source: AFP). La loi, dont nous avons parlé récemment, a été jugée non constitutionnelle. Elle sera probablement enterrée.

    Une question: les médias français parleront-ils de l'annulation cette loi autant qu'ils avaient parlé de son vote?

    Non, sans doute. Il n'y a qu'à voir la courbe de buzz du dernier mois sur le mot "Roumanie". Plusé généralement, la Roumaine intéresse peu les médias français, l'Europe non plus, d'ailleurs.

    conforter nos préjugés

    La loi sur les infos positives a intéressé par son aspect insolite. Elle permettait de conforter nos préjugés négatifs sur une Roumaine encore ancrée dans l'ère Ceaucescu...

    Moi-même, j'ai publié cette info parce qu'elle m'a choqué. Il se trouve que mon article a été repris par rezo.net. Cela m'a permis d'attirer un commentateur vivant en Roumaine. J'ai échangé quelques mails avec lui. Son éclairage sur les médias roumains mérite d'être publié. C'est ce que je ferai prochainement.

    (photo: le premier journal roumain après la révolution, 1989 _ CFPJ)

  • Et 1 et 2 et 3 zéro + quelques liens

    • C'était le 12 juillet 1998. (video)
    • Blogueurs/Journalistes: bilan de la question. Je résumerais: après l'épisode Versac, les journalistes ignorent un peu moins les blogueurs mais ils les aiment tout autant. ;-) (Internet et opinion, FredCavazza)
    • Le Sénat aimerait taxer les micro revenus du web (Padawan)
    • Miss Univers c'est ce week-end (Calédosphère)
    • 10 secrets to better blogging (Chris Brogan)
    • 21 sites d'information à découvrir (CDLM
    • Le guide essentiel des médias sociaux (Pdf _ 20 pages; aspect consulting)
    • Judo: toutes les prises en 30 secondes (youtube
    • La traque de Ben Laden (IHT
    • Nicolas Sarkozy raille les syndicats et la gauche devant des militants UMP et le président de la Commission européenne. Ca énerve Vogelsong.
    • Is google making us stupid? (The Atlantic)
    • 10 site for How to (mashable)

  • Paroles de blogs sur Stratégies

    redimage.php.jpgDe bons blogs à découvrir... mais pour la plupart vous les connaissez déjà!

  • Velib': un an déjà

    velib.JPGJ'emprunte le titre de Didier. Il revient sur un an de Velib', ce système mis en place à Paris (et qui existe dans d'autres villes, n'est-ce pas les lyonnais?)

    Personnellement, je n'ai jamais utilisé le Vélib'. Je préfère la marche ou le métro. Mais, sur le principe je trouve Velib' excellent. Ca peut même devenir super puissant...

    Ca donne de jolies photos... 

    Et vous, vous aimez Velib? 

    photo: sistereden2