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  • Twitter times: une sélection de liens choisis par vos amis sur Twitter

    twitter times.jpg

    Twitter Times, c'est un outil qui permet de sélectionner sur une page web les liens favoris des personnes que vous suivez sur Twitter. Exemple, ma page Twitter times.

    L'intérêt de ce service:

    • Le truc est automatisé: vous n'avez rien à faire.
    • Il est personnalisé: la page est générée à partir de vos followers followings, les personnes que vous suivez (mise à jour après le commentaire de Narvic). Donc, à partir de personnes qui partagent les mêmes centres d'intérêt que vous (pour moi, cette page me donne une vue panoramique sur des liens concernant les médias, c'est intéressant).
    • Il est clair: le design est agréable. Il est un peu inspiré du site du NewYorkTimes et de son blogrunner.

    Le service est actuellement en version beta. Il faut faire une demande pour être inscrit.

  • Internet et la déprofessionnalisation de l'accès à l'information

    Si Internet est un outil convivial, c'est au sens où il nous libère de certaines contraintes. Il nous permet d'avoir accès à l'information de façon plus autonome.

    De plus, il nous permet de publier des informations, presque sans coût, et d'être potentiellement lu par tout le monde. Enfin, il supprime les intermédiaires et facilite l'échange de bien culturels entre pairs.

    Ces arguments en faveur d'une déprofessionnalisation de l'accès à l'information sont développés dans cet article de Benjamin Grassineau. Il y discute, notamment, des thèses d'Ivan Illich.

    La déprofessionnalisation, dans le domaine des médias, se conjugue avec l'émergeance de publications en tout genre, produites par des amateurs. Plus largement, c'est la possibilité, donnée à tous d'accéder gratuitement à de nombreuses informations.

    Voici les trois conséquences de cette prise en main de l'outil Internet:

    1. Surplus d'autonomie

    "Tout d’abord, Internet peut effectivement offrir un surplus d’autonomie à ceux qui y ont accès – donc conduire à une déprofessionnalisation. Il facilite en effet l’accès aux informations nécessaires à l’utilisation des outils présents dans la vie courante. En ce sens, il permet de s’affranchir, au moins partiellement, de la main-mise des professions sur l’usage de certains outils, ou sur le contrôle des informations relatives à cet usage. Mais cela est vrai, naturellement, tant que l’information demeure en libre-accès, et tant que l’information pertinente peut-être « trouvée » et interprétée facilement. Or, pour prendre un exemple, la langue peut constituer une barrière. De plus, il faut que les informations sur un sujet donné soient diverses, variées afin de pouvoir être adaptées à la personne qui désire les acquérir. Ceci nous amène au deuxième aspect. L’accessibilité à des informations variées et contradictoires, n’est garantie pleinement que si il y a une ouverture de la publication. Rappelons que la publication ouverte ne concerne pas l’accès aux informations, mais l’accès aux outils permettant la publication individuelle ou collective. Or, de ce point de vue, il est certain qu’Internet offre au citoyen un potentiel qui n’avait jamais été égalé auparavant. La preuve en est qu’il laisse la place à l’expression de courants politiques, idéologiques, religieux, jusqu’alors presque totalement ignorés."

    2. Possibilité de s'exprimer

    "De même, il est certain qu’il offre un fort potentiel pour ceux qui souhaitent exprimer leurs points de vue. Les forums, les blogs, les sites personnels sont autant d’outils pouvant être dits conviviaux, dans la mesure où ils offrent à n’importe quel individu la possibilité de s’exprimer et de confronter ses idées sur les sujets les plus divers. Et de fait, ils sont une mine d’informations précieuses pour un nombre considérable de sujets – des plus anodins aux plus sérieux et aux plus utiles".

    3. Echange de biens immatériels

    Enfin, dernier aspect, Internet favorise ce qu’on appelle aujourd’hui la désintermédiation dans l’échange de biens immatériels. En effet, l’échange de fichiers musicaux, d’informations, de recettes, de photos, se fait de plus en plus indépendamment de l’intervention d’intermédiaires professionels. Ou du moins, si ces intermédiaires existent, ils n’influent pas sur la verticalité ou l’horizontalité de l’échange. Internet est donc, sous ces aspects-là, un moteur essentiel de la déprofessionalisation des activités de contrôle, de production, d’évaluation et de diffusion des biens immatériels. Mais, ombre au tableau, ce mouvement de déprofessionnalisation est aujourd’hui contrebalancé par trois tendances contraires.

  • Le web, outil convivial à tendance toxique

    Il y a peu, un ami me confiait que son épouse avait une manière bien à elle d'utiliser l'ordinateur. Quand elle en avait besoin, elle l'allumait, recherchait l'information qu'elle était venue chercher, puis elle éteignait l'ordinateur.

    Lui, en revanche, laisse l'ordinateur allumé toute la journée. "Parfois je passe tout mon temps devant l'écran", m'a-t-il dit. Il souligne à quel point cet usage d'Internet est contre productif. Mais, comme nous tous, il fait comme ça.


    l'ordi allumé tout la journée

    Vous êtes sans doute comme lui, comme moi: l'écran allumé toute la journée. Vous recherchez des informations, vous utilisez l'ordinateur. Mais bien souvent c'est lui qui vous utilise.

    C'est ce qui me fait introduire l'idée d'outil convivial, proposée par Ivan Illich en son temps. L'outil est dit convivial s'il accroit l'autonomie de l'homme. Sinon, c'est l'outil qui prend le contrôle de l'homme. C'est alors qu'il devient toxique.


    aussi souvent ou aussi rarement

    "L'outil est convivial dans la mesure où chacun peut l'utiliser, sans difficulté, aussi souvent ou aussi rarement qu'il le désire, à des fins qu'il détermine lui-même. L'usage que chacun fait n'empiète pas sur la liberté d'autrui d'en faire autant. Personne n'a besoin d'un diplôme pour avoir le droit de s'en servir; on peut le prendre ou non. Entre l'homme et le monde, il est conducteur de sens, traducteur d'intentionnalité" (Ivan Illich _ la Convivialité)

    Pour Illich, le téléphone est l'exmple d'un outil convivial. Les individus sont libres de téléphoner n'importe quel message à n'importe quel personne, sans qu'une administration intervienne pour limiter cet usage. Internet et l'ordinateur répondent en partie à cette définition.


    convivial ou toxique?

    Illich souligne aussi que les outils conviviaux peuvent exercer une telle attraction sur les gens qu'ils deviennent toxiques.

    "Quand une population entière se laisse intoxiquer par l'usage abusif du téléphone et perd ainsi l'habitude d'échanger des lettres ou des visites, l'erreur tient à ce recours immodéré à un nouvel outil, convivial par essence, mais dont la fonction est dénaturée par une fausse extension de son champ d'action."

    Dans quelle mesure notre usage d'Internet est-il passé de convivial à toxique (et contre productif)?

    (ce billet fait suite à celui-ci, qui était déjà consacré, de façon transevrsale, à Ivan Illich)

     

    Pour prolonger:

     

  • Une perle sur le blogging

    Sur cette perle

    conseils blogging

    j'ai  réuni plusieurs billets sur le blogging, déjà publiés sur ce blog. Vous pouvez les consulter en cliquant sur la perle. Elle a été réalisée grâce au site pearltrees.

    Si vous n'êtes pas encore inscrit sur pearltrees, demandez à vous inscrire, ça n'est pas compliqué.

    Sur cette perle, j'ai rassemblé des billets sur lesquels vous trouverez des conseils pour bloguer. Cela peut vous être utile, éventuellement.

    J'ai déjà parlé de pearltrees. C'est une application lancée par une société française. Son principale fondateur, Patrice Lamothe, a tissé des relations amicales dans le « monde des blogueurs ». Il m'a fait découvrir pearltrees et son équipe, dans les locaux parisiens de sa société.

     

    Qu'est-ce que pearltrees?

    Littéralement c'est un arbre à perles. Chaque perle représente une page web. Quand vous allez pearltrees, vous avez la possibilité de mémoriser un parcours sur le web. Chaque page visitée prend la forme d'une perle. Les perles sont unies entre elles par un petit fil d'ariane. L'ensemble a l'apparence d'un arbre de perles.

    pearltrees.JPG

    Prenons un exemple. Pour réaliser mon petit arbre sur le blogging, je me suis identifié sur le site pearltrees. Puis j'ai presser sur le bouton « pearl ». Le programme s'est mis à enregistrer mon parcours. J'ai recherché sur mon blog les billets sur le blogging. Puis, une fois terminé, j'ai observé le résultat sur pearltrees.

    Une fois réalisé, cet arbre à perle peut être relu. On peut l'encapsuler sur son blog (ce que j'ai fait ici). On peut le partager avec d'autres utilisateurs de pearltrees. Le site est très « social ». Il permet de découvrir des arbres sur des thèmes qui vous intéressent. Vous entrez en contact avec des personnes qui partagent les mêmes centres d'intérêt que vous. Vous pouvez également populariser votre blog.

    Fixer une trace du flux. La pratique du web, aujourd'hui, devient de plus en plus agile et fluide. Nous sommes dans une logique de flux (« stream », en anglais). En utilisant différents services, l'individu produit un flux de données qui se dispersent sur différents sites.

    La meilleurs illustration du flux, c'est twitter. Sur twitter, tout est flux. (défi du flux)

    Avec pearltrees, on peut inverser cette logique. Fixer le flux. Revenir sur ses pas. Faire apparaître ce qu'on ne voit pas: la trace laissée lorsque on parcourt le web.

     

  • La twittosphère média

    La Netscouade, agence Internet vient de publier une carte de la twittosphère média. Journalistes, observateurs des médias, "forçats de l'infos" et ceux qui les emploient, tout le monde est dans le même bateau. Mais est-ce à dire que les journalistes et les citoyens sont vraiment connectés sur twitter, ou bien est-ce que les journalistes restent encore en vase clos?

    Lire la suite

  • La presse en ligne: comment ça marche

    Benoît Drouillat, designer interactif, présente un benchmark non-exhaustif de la presse en ligne (trouvé chez l'observatoire des médias).

    View more presentations from bdrouillat.
  • Quelques liens

    Quelques liens:

  • Sérendipité, sites d'infos, etc.

    Quelques remarques...

    • Justement, à propos de moteurs de recherche. En consultant les statistiques du blog, j'ai vu que j'étais bien placé sur le mot "sérenpidité". Or, ce mot s'écrit "sérendipité". Ca correspond bien à la définition du mot qui est: "une démarche qui consiste à trouver quelque chose d'intéressant de façon imprévue".
    • Pourquoi cherchons-nous de l'information? Etre mieux informé nous donne un avantage compétitif dans notre travail, pensons-nous. Cette recherche de l'information la plus pertinente se nourrit de la crainte de ne pas être compétitif.

      Les utilisateurs d'Internet sont confrontés au Data smog, un brouillard d'informations qui vous noie. Le livre Data smog date de 1997, à l'aube du net. Le problème n'a fait que s'agraver...

    • Notre façon d'utiliser Internet est à repenser, estiment certains spécialistes. La recherche est souvent erratique. Elle se nourrit souvent de sérendipité. La sérendipité est la caractéristique d'une démarche qui consiste à trouver quelque chose d'intéressant de façon imprévue, en cherchant autre chose, voire rien de particulier.

      Chercher en utilisant les moteurs de recherche, c'est souvent chercher sans chercher, pratiquer le wilfing.
  • Du blog au lifestreaming, l'individu "s'éclate"

    Quelques divagations. Vos réflexions sont les bienvenues!

    Sans parler de mort du blog, disons que la pratique du blog s'est diluée.

    Les réseaux sociaux font que l'individu à tendance à s'"éclater". Au sens propre comme au figuré. Il se dissémine sur différents sites: twitter, un ou plusieurs blogs, Flickr, youtube, Facebook, etc. Et l'ensemble peut être aggrégé sur un service de lifestreaming comme Friendfeed.

    Lifestreaming, c'est un terme que je serais bien en peine de traduire. On peut dire que c'est “une nouvelle façon de fournir et de garder des traces sur vos activités en utilisant une collection d’informations organisées chronologiquement”. (Pisani)

    L'esprit du truc, c'est un peu celui du flux RSS. Le fil d'info se dévide comme une pelote. On y retrouve tout ce que l'individu a semé sur son passage: des photos (Flickr), des billets de blog, des gazouillis (twitter), des documents Pdf, etc.

    Francis Pisani cite l'exemple du site (ou blog?) d'Alan Cheslow. Une aggrégation d'éléments, comme on en trouve sur un compte Friendfeed.

    Du blog au lifestreaming, une évolution, un glissement. Le blog, c'est (ou c'était) le chez soi, la propriété. Le lifestreaming, c'est la location, le nomadisme, voire la promiscuité. Entre follower sur twitter, on se tient chaud, mais sur son blog, on fait la loi.

    "Avoir un blog, c'était être dépositaire d'un vrai morceau du web. Sur Twitter ou Facebook, ce n'est pas le cas, vous exploitez un profil dans un contexte très encadré. Vous ne possédez pas le bout de web qu'il représente et qui n'a quasiment pas d'entité propre, au sens notamment où, un site web, ça se ferme" note Alexis.

    Quelles évolutions possibles?

    Cette évolution pourrait permmettre de voir émerger trois types de blogs (au moins):

    • les ego blogs

    A l'origine ils étaient là et ils vont continuer leur route, agrégeant tous les éléments de leur vie numérique, les photos de leur chat et de leurs potes, leurs clips et leurs blague préférées. Bref, rien de nouveau sous le soleil.

    • les blogs spécialisés

    Ces blogs, rédigés par des spécialistes, gardent toute leur pertinence. Ils sont fortement ciblés, ne parlent que d'un seul sujet. Ils peuvent atteindre de fortes audiences.

    C'est exactement ce qu'explique Jean-Dominique Merchet dans cette video d'Arret sur Images. (trouvée chez Juan)

    • les blogs généralistes
    Ces blogs qui parlent de tout (et de n'importe quoi) sont menacés dans leur existence, à cause du bouleversement du paysage. Et aussi du fait que le temps d'attention dévolu à chaque site est en diminution. Plus de sites différents, donc, moins de temps de cerveau disponible.
    Les blogs généralistes, à moins de se cantonner dans le style ego blog, sont plus ou moins amenés à se banaliser. Enfin, c'est un peu mon sentiment...
    Et vous, comment vivez-vous cet avènement du lifestreaming, et cet éclament de l'individu dans un nombre important de lieux virtuels?
  • D'où viennent les chaînes de blogs (et les mèmes)?

    christopher poole.jpgChristopher Poole, 20 ans, fondateur de 4chan.org, vient de dévoiler son identité. Il espère monnayer son site qui donne de la matière aux chaînes de blogueurs depuis 2003.

    Les blogueurs aiment les chaînes, ces suites de billets qui sautent de blog en blog. Les mèmes (wikipedia) ça doit être le nom technique pour désigner la chose. Que les spécialistes me corrigent...

    On a retrouvé le gars qui est à l'origine de toutes les chaînes et autres trucs rigolos. C'est un ado américain. Christopher Poole, une vingtaine d'année.

    Christopher Poole est le fondateur de 4chan.org, le site à l'origine de nombreuses chaînes. La plus connues est celles des lolcats, ces chats farceurs, mis ) l'honneur par un blog célèbre.

    Qu'est-ce que 4chan.org? Un site sur lequel on peut poster tout et n'importe quoi. Surtout n'importe quoi. Ce site est même parfaitement immonde. Les pire et le pire s'y côtoient.

    Mais aujourd'hui Christopher se sent pousser des ailes. Son site contient près de 150 millions d'images et autres billets. Il a fait l'objet d'un article dans le Wall Street Journal. Bref, ça sent bon pour lui. La revente de 4chan.org se profile pour quelques millions de dollars...

    Ces articles peuvent vous intéresser:

     

     

     

  • Connaissez-vous Christophe Ducamp?

    Qui est Christophe Ducamp ? Je regarde souvent ses vidéos sur Seesmic. Ce que je vois dans ses interventions? Une réflexion sur la condition de l'homme face à l'outil informatique, les bouleversements que le numérique fait subir à la personnalité, et plus globalement, une interrogation sur soi.

    Pourquoi j'en parle? Pourquoi il m'intrigue?

    Parce que j'ai vu plusieurs de ses vidéos sur Seemics et que je trouve ce monsieur sympathique, émouvant, étonnant, entraînant.

    Ses vidéos sont des post it, des pense-bête, des notes pour lui-même et pour les autres.

    Qu'est-ce qu'il raconte?

    Ce qui m'amuse et m'intéresse, c'est sa façon de parler devant la caméra, ce dévoilement de l'intimité, cet effet vidéo confessional, qui rappelle, inévitablement, la télé réalité, mais n'en est pas, mais pas du tout.

    En effet, rien de voyeur, dans ces "confessions".

    Christophe Ducamp fait allusion, de façon répétée, au livre Ma vie sans bug. Un livre que je n'ai pas lu, mais dont on perçoit bien le projet, quand on regarde les vidéos de Christophe Ducamp. Pour lui, la pratique du confessional, de la vidéo, lui permet de "se débuguer", de se défaire de ses bugs comportementaux, ces habitudes ancrées en nous et dont on veut se débarasser. 

    Alors, est-ce qu'on assiste à une psychanlyse en directe? Non, je ne dirais pas ça. C'est autre chose. Et puis, souvent, ce sont des petits moments de poésie.

    Il sera peut-être étonné que l'on parle de lui...

    Exemple d'une vidéo: vidéo confessionnal, vers une réseau thérapie

    claude askolovitch

  • Sites d'information: comment booster l'audience (1)

    Pour attirer des visiteurs, tous les moyens sont bons. Ou presque. Les sites Internet rivalisent d'imagination: achat de mots-clés, référencement "naturel" et entrebaillement de l'univers du film X...

    Bien sûr, certains n'ont pas recours à ces grosses ficelles, préférant les lecteurs fidèles...

    Récemment on s'interrogeait sur le rôle des mots-clés pour les sites d'information.

    Certains sites achètent des mots-clés sponsorisés. Cette méthode marketing permet d'augmenter l'audience des sites.

    C'est parfois utile aussi pour le lecteur: il accède rapidement à une info grâce à un lien sponsorisé ciblé.

    Liens sponsorisés racoleurs

    Mais quelquefois c'est un peu limite. Le Figaro a utilisé une technique plutôt racoleuse avec ce lien sponsorisé "Ingrid Bétencourt est bien vivante La preuve en vidéo" (via Chouingmédia)

    Carla S... nue dans le Point

    Les sites d'information sérieux ont-ils recours aux grosses ficelles, comme l'utilisation du mot-clé "nue", connue de tous les blogueurs?

    Essayons avec Le Point. Tapons "nue" dans son moteur de recherche. Résultat 2024 articles. C'est beaucoup, non?

    Le point nue.JPG
    Et là, tout y passe:
    _ Un nu de Carla Bruni-Sarkozy adjugé 91 000 dollars
    _ Magazine : Play Boy : Binoche se met à nu
    _ Un touriste américain visite l'Allemagne... nu
    _ La vérité toute nue
    _ Ventes - Marché de l'art : Warhol à nu
    Bref, on peut se demander si Le Point ne cherche pas à générer du trafic  avec des neuneus qui cherchent du sexe sur le net. C'est de bonne guerre!
    Et je précise que j'ai choisi le Point au hasard.