(Ce billet est rédigé en partenariat avec "Courrier international").
Quand Chris Anderson (Wired.com) a lancé son livre intitulé Free (où il explique qu'on peut gagner de l'argent en donnant des choses), il ne l'a pas mis gratuitement dans les librairies.
C'est peut-être ce qui incite au scepticisme vis-à-vis du gratuit, comme le montre cet article de Courrier international. On note ainsi que "le contexte économique difficile incite beaucoup d’entreprises à faire payer des biens et des services qu’elles offraient jusqu’ici gratuitement".
Nombreux sont les exemples de sociétés qui font payer des choses qui étaient gratuites avant.
"Les clients des compagnies aériennes – l’un des rares secteurs encore plus à sec que la presse – ont accepté sans trop rechigner la majoration de 15 à 25 dollars demandée pour l’enregistrement des bagages depuis l’année dernière [sur les vols intérieurs aux Etats-Unis]. Cet été, le patron de Ryanair, Michael O’Leary, a même émis l’idée de faire payer 1 livre sterling [1,10 euro] pour l’utilisation des toilettes à bord de ses avions".
Aujourd'hui, 15h10. Place de la république.
Aujourd'hui, les moyens d'information sont plus puissants qu'ils ne l'ont jamais été. On peut, en temps réel, être renseigné sur des événements qui se produisent à l'autre bout de la planète.
Et c'est justement ce qu'on constate en lisant le dossier. Les points de vue s'opposent. Pour les uns Internet détruit notre capacité à nous concentrer et à lire des textes longs. Pour les autres, Internet nous ouvre vers une nouvelle façon de penser.