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t'es bien mystérieux, c'était qui? cela dit, y a des prophètes pessimistes voir sur le diplo toute l'histoire google + bibliothèques...
http://www.monde-diplomatique.fr/carnet/2009-08-20-Google-le-grand-mechant-loup-dans (et cliquer sur l'article de darnton
@Nicolas,
Je ne vise personne en particulier. Je trouve juste étonnant qu'Internet soit une industrie qui ait besoin d'un discours utopiste pour se développer. La télé n'a pas développé un tel discours. La voiture, un peu. Internet, beaucoup.
@Martine,
Oui, les prophètes sont souvent pessimistes.
Tout cela est largement une question d'horizon de temps.
Il y a trente ans, l'idée que tout le monde pourrait acheter ses billets de train en restant assis dans son bureau, l'idée qu'un étudiant canadien installé en afrique du sud pourrait instantanément partager ses photos avec sa famille et cela sans même l'avertir qu'il faut les regarder, que le monde entier puisse discuter à la vitesse de l'éclair avec le monde entier (et je ne parle pas de Twitter, mais bien plus simplement... des mails)... Il y a trente ans, chacune de ces choses qui te paraissent aujourd'hui naturelles étaient des prophéties.
En fait, pour que de nouveaux usages se développent massivement (et les technologies ne sont que le support de ces usages) il faut qu'une multitude de gens sans liens ni rapport travaillent et avancent ensemble sur les mêmes sujets.
Ce sont les rêves partagés, avec leur inévitable part d'erreur et d'absurdité, de visionnaires et de charlatans, de vraies utopies et de cauchemars en gestation, les prophéties donc, qui coordonnent ces travaux et ces efforts. Ils ne sont donc pas seulement d'amusements compléments ou de charmantes superstitions, ils définissent des orientations communes, des directions, des intérêts partagés, ils posent les bases des usages à venir et des technologies qui les soutiendront.
Les évidences d'aujourd'hui sont les rêves d'avant-hier, les évidences de demain sont les rêves d'aujourd'hui.
Il y en a même qui l'ont vu voler !
:-))
@Cratyle,
Rêves, évidences, utopies: tous ces mots appartiennent à un lexique bien particulier. Ce n'est pas celui du marketing, or, Internet c'est avant tout du marketing (mais pas que cela, certes!)
Que les grands chefs d'entreprise où les web-enthousiastes auto-entrepreneurs utilisent le vocabulaire de la croyance, du voyage vers un "mieux pour tous", c'est tout de même étonnant. Les fabriquants de pâte dentifrice n'en font pas tant pour vendre leur produit.
En fait... c'est parce que les fabricants de dentifrice n'ont ni inventé ni véritablement popularisé les idées sur lesquelles ils s'appuient. Ils exploitent cependant des rêves qui eux aussi ont été inventés, réalisés et popularisés. Des rêves du XIXème siècle : l'hygiéniste et le "culte" de la santé, d'abord réservés à la bourgeoisie, ensuite étendus à l'ensemble de la population, notamment par les efforts des états et de ceux qu'on appelait alors les "philantropes".
L'hygiène pour tous était un rêve immense du XIXème siècle, un rêve que les pays occidentaux considèrent aujourd'hui comme une évidence.
Le rêve initial a donc bien peu à voir avec un quelconque discours marketing, il utilise bien souvent des moyens commerciaux pour ce propager, mais s'il utilise ces moyens, il n'en est en aucun cas dépendant.
Le Web en particulier existe depuis bien plus longtemps que ses applications commerciales. Son inventeur et premier "prophète", Tim Berners-Lee, est un physicien bien éloigné des considérations financières....
@Cratyle,
Oui, j'exagère un peu. Mais note que dans mon texte je définis une utilité aux prophètes du web: être des prêtres modernes, c'est-à-dire des hommes du récit. Ils font le récit des mythes de notre époque, époque dont on a pu dire qu'elle était celle de la fin des grands récits. Or, ces récits sont nécessaires.
L'idée que l'humanité puisse être unifiée en un grand intellect, est une forme de récit, qui peut être séduisante. Loin de moi l'idée de vouloir dénigrer les prophètes du web, du moins ceux qui ne sont pas des charlatans, comme tu l'as dit.
Serait-il possible d'avoir l'identité de la personne qui manifestement doit avoir accès à certaines cultures... j'ai grand besoin de plantes médicinales, apprécierais de pouvoir flotter sur un nuage moi aussi.
Merci.
Sujet intéressant ! C'est marrant car en lisant les commentaires cela apporte un éclairage presque différent sur ta position par rapport à ce "ton exalté"
Je pense rentrer dans la catégorie des gens que tu décris, pour le côté utopiste / optimiste en tout cas :)
Pour moi l'innovation et la création est facilitée par l'optimisme et la croyance en la réussite d'un modèle, d'un projet, d'une idée. Au contraire, être pessimiste peut être bloquant, car on ne voit alors que les problèmes... et on préfère abandonner.
J'adore. Il est en avance et le train est en retard. Il est vrai que ça délire sec sur l'avenir - Voir par exemple ce titre de Mashable: 5 tTerrific Ted Talks on Future Technologies http://mashable.com/2009/08/20/ted-future/ #TTTF Fais moi peur TEDDY !
@Desirade,
Oui, on aime tous ces discussions exaltées sur l'avenir, les outils, le web!
@Antonin, Effectivement, l'optimisme semble une attitude meilleure, sauf que l'optimisme a déjà produit de gigantesques catastrophes dans l'histoire!
Sur mon point de vue: il n'est pas tranché!
cadeau: la carte mondiale de l'optimisme! http://graficos.lainformacion.com/2009/08/mapa-mundial-del-optimismo/
Pas sûr que notre présent soit si industriel que ça. Si il l'est l'industrie n'est alors plus vraiment le domaine déterminant.
Désolé de renvoyer à un livre qui fait plus de 300 pages mais Jeremy Rifkin dans l'Age de l'accès analyse bien la transformation du capitalisme industriel en capitalisme où l'industrie n'est là qu'en support à des services toujours plus intrusifs et sophistiqués. Quel rapport avec Internet ? Justement Internet devient le moyen d'accès à ces services, l'infrastructure qui lui manquait.
@Tisane,
Merci pour ton commentaire. Les théories de Rifkin commencent à dater. Et, comme tu évoques Internet, comment affirmer qu'il ne s'agit pas d'une industrie? A moins de considérer que les ordinateurs (qu'ils faut changer souvent et qui génèrent des déchets), les data center et l'électricité dépensé ne font pas partie de l'industrie?
Si j'ai avancé le mot "industrie" c'était en référence à Bernard Stiegler, fondateur d'Ars industrialis, une association qui traite justement de cette réalité industrielle dans notre société.
Bien sûr, tu as raison, Internet change les choses, mais la réalité économique, elle est massivement industrielle.
@Tisane,
Merci pour ton commentaire. Les théories de Rifkin commencent à dater. Et, comme tu évoques Internet, comment affirmer qu'il ne s'agit pas d'une industrie? A moins de considérer que les ordinateurs (qu'ils faut changer souvent et qui génèrent des déchets), les data center et l'électricité dépensé ne font pas partie de l'industrie?
Si j'ai avancé le mot "industrie" c'était en référence à Bernard Stiegler, fondateur d'Ars industrialis, une association qui traite justement de cette réalité industrielle dans notre société.
Bien sûr, tu as raison, Internet change les choses, mais la réalité économique, elle est massivement industrielle.
Moui... J'suis mitigée sur ton analyse. Le web de demain naitra des rêves d'aujourd'hui, comme le dit Cratyle et surtout, sans rêveurs, le monde n'avancerait pas (souvenez vous de la pub Renault "Ca ne marchera ja-mais !").
J'ai la chance de participer régulièrement à des réunions de passionnés, à des BarCamps ou des Open Coffee, et il ressort généralement de nos échanges beaucoup d'enthousiasme et d'utopie, certes, mais également des pistes que nous explorons et exploitons, chacun à notre façon.
Ce n'est pas en nous contentant des usages connus des outils que nous utilisons aujourd'hui que nous progresserons...
@Sophie,
Je pense que tu as raison. C'est donc que je n'avais pas tort d'écrie ce billet, puisque il m'a permis de voir plus clair sur cette question.
Mais je suis tout sauf un technophobe ou un pessismite: mon billet n'a rien d'agressif, non?
Rien d'agressif, non, mais l'utilisation du mot prophète sonne un peu comme une moquerie :)
Ah Ah ! Excellent.
Je fais partie des profondément optimistes / persuadés que la révolution internet va modifier l'ensemble du paysage non industriel.
Néanmoins, étant un professionnel du web, j'analyse de manière très critique les business model mis en place et la frénésie du web à tout prix. CAR le web n'a pas de modèle économique, mais plein de micro-modèles à adopter et adapter avec soin dans le cadre d'une stratégie spécifique. Et c'est là que le bât blesse : certains "prophètes"prônent des usages excessifs, du "bullshit techno commercial" sans s'inscrire dans une démarche de manager, avec budget et comptes à rendre.
De fat, je m'inscris dans les optimistes réalistes ;-), et les clients et projets que j'accompagne en sont très satisfaits.
Optimiste réaliste: je souscris à ta formule!
Eric,
Là je t'arrête, le vocabulaire de la croyance est inséré depuis quelques années dans le marketing et la publicité, regarde les dernières pubs TV, écoute les derniers messages publicitaires, elles ont toutes adopté ce vocabulaire et utilisent toutes les couleurs de l'arc en ciel, des chakras, mieux, les livres blancs en ligne le mentionne, nous sommes dans l'ère du verseau, les entreprises développent le marketing vert, le marketing "bien être" qui a aussi ses propres codes, on est en plein dedans !
Les messages visuels et auditifs collent très bien , ça passe comme une lettre à la poste, je les étudie actuellement ;-))
Commentaires
des noms, des noms :-) :-)
t'es bien mystérieux, c'était qui? cela dit, y a des prophètes pessimistes voir sur le diplo toute l'histoire google + bibliothèques...
http://www.monde-diplomatique.fr/carnet/2009-08-20-Google-le-grand-mechant-loup-dans (et cliquer sur l'article de darnton
@Nicolas,
Je ne vise personne en particulier. Je trouve juste étonnant qu'Internet soit une industrie qui ait besoin d'un discours utopiste pour se développer. La télé n'a pas développé un tel discours. La voiture, un peu. Internet, beaucoup.
@Martine,
Oui, les prophètes sont souvent pessimistes.
Tout cela est largement une question d'horizon de temps.
Il y a trente ans, l'idée que tout le monde pourrait acheter ses billets de train en restant assis dans son bureau, l'idée qu'un étudiant canadien installé en afrique du sud pourrait instantanément partager ses photos avec sa famille et cela sans même l'avertir qu'il faut les regarder, que le monde entier puisse discuter à la vitesse de l'éclair avec le monde entier (et je ne parle pas de Twitter, mais bien plus simplement... des mails)... Il y a trente ans, chacune de ces choses qui te paraissent aujourd'hui naturelles étaient des prophéties.
En fait, pour que de nouveaux usages se développent massivement (et les technologies ne sont que le support de ces usages) il faut qu'une multitude de gens sans liens ni rapport travaillent et avancent ensemble sur les mêmes sujets.
Ce sont les rêves partagés, avec leur inévitable part d'erreur et d'absurdité, de visionnaires et de charlatans, de vraies utopies et de cauchemars en gestation, les prophéties donc, qui coordonnent ces travaux et ces efforts. Ils ne sont donc pas seulement d'amusements compléments ou de charmantes superstitions, ils définissent des orientations communes, des directions, des intérêts partagés, ils posent les bases des usages à venir et des technologies qui les soutiendront.
Les évidences d'aujourd'hui sont les rêves d'avant-hier, les évidences de demain sont les rêves d'aujourd'hui.
Il y en a même qui l'ont vu voler !
:-))
@Cratyle,
Rêves, évidences, utopies: tous ces mots appartiennent à un lexique bien particulier. Ce n'est pas celui du marketing, or, Internet c'est avant tout du marketing (mais pas que cela, certes!)
Que les grands chefs d'entreprise où les web-enthousiastes auto-entrepreneurs utilisent le vocabulaire de la croyance, du voyage vers un "mieux pour tous", c'est tout de même étonnant. Les fabriquants de pâte dentifrice n'en font pas tant pour vendre leur produit.
En fait... c'est parce que les fabricants de dentifrice n'ont ni inventé ni véritablement popularisé les idées sur lesquelles ils s'appuient. Ils exploitent cependant des rêves qui eux aussi ont été inventés, réalisés et popularisés. Des rêves du XIXème siècle : l'hygiéniste et le "culte" de la santé, d'abord réservés à la bourgeoisie, ensuite étendus à l'ensemble de la population, notamment par les efforts des états et de ceux qu'on appelait alors les "philantropes".
L'hygiène pour tous était un rêve immense du XIXème siècle, un rêve que les pays occidentaux considèrent aujourd'hui comme une évidence.
Le rêve initial a donc bien peu à voir avec un quelconque discours marketing, il utilise bien souvent des moyens commerciaux pour ce propager, mais s'il utilise ces moyens, il n'en est en aucun cas dépendant.
Le Web en particulier existe depuis bien plus longtemps que ses applications commerciales. Son inventeur et premier "prophète", Tim Berners-Lee, est un physicien bien éloigné des considérations financières....
@Cratyle,
Oui, j'exagère un peu. Mais note que dans mon texte je définis une utilité aux prophètes du web: être des prêtres modernes, c'est-à-dire des hommes du récit. Ils font le récit des mythes de notre époque, époque dont on a pu dire qu'elle était celle de la fin des grands récits. Or, ces récits sont nécessaires.
L'idée que l'humanité puisse être unifiée en un grand intellect, est une forme de récit, qui peut être séduisante. Loin de moi l'idée de vouloir dénigrer les prophètes du web, du moins ceux qui ne sont pas des charlatans, comme tu l'as dit.
Serait-il possible d'avoir l'identité de la personne qui manifestement doit avoir accès à certaines cultures... j'ai grand besoin de plantes médicinales, apprécierais de pouvoir flotter sur un nuage moi aussi.
Merci.
Sujet intéressant ! C'est marrant car en lisant les commentaires cela apporte un éclairage presque différent sur ta position par rapport à ce "ton exalté"
Je pense rentrer dans la catégorie des gens que tu décris, pour le côté utopiste / optimiste en tout cas :)
Pour moi l'innovation et la création est facilitée par l'optimisme et la croyance en la réussite d'un modèle, d'un projet, d'une idée. Au contraire, être pessimiste peut être bloquant, car on ne voit alors que les problèmes... et on préfère abandonner.
J'adore. Il est en avance et le train est en retard. Il est vrai que ça délire sec sur l'avenir - Voir par exemple ce titre de Mashable: 5 tTerrific Ted Talks on Future Technologies http://mashable.com/2009/08/20/ted-future/ #TTTF Fais moi peur TEDDY !
@Desirade,
Oui, on aime tous ces discussions exaltées sur l'avenir, les outils, le web!
@Antonin, Effectivement, l'optimisme semble une attitude meilleure, sauf que l'optimisme a déjà produit de gigantesques catastrophes dans l'histoire!
Sur mon point de vue: il n'est pas tranché!
cadeau: la carte mondiale de l'optimisme! http://graficos.lainformacion.com/2009/08/mapa-mundial-del-optimismo/
Pas sûr que notre présent soit si industriel que ça. Si il l'est l'industrie n'est alors plus vraiment le domaine déterminant.
Désolé de renvoyer à un livre qui fait plus de 300 pages mais Jeremy Rifkin dans l'Age de l'accès analyse bien la transformation du capitalisme industriel en capitalisme où l'industrie n'est là qu'en support à des services toujours plus intrusifs et sophistiqués. Quel rapport avec Internet ? Justement Internet devient le moyen d'accès à ces services, l'infrastructure qui lui manquait.
@Tisane,
Merci pour ton commentaire. Les théories de Rifkin commencent à dater. Et, comme tu évoques Internet, comment affirmer qu'il ne s'agit pas d'une industrie? A moins de considérer que les ordinateurs (qu'ils faut changer souvent et qui génèrent des déchets), les data center et l'électricité dépensé ne font pas partie de l'industrie?
Si j'ai avancé le mot "industrie" c'était en référence à Bernard Stiegler, fondateur d'Ars industrialis, une association qui traite justement de cette réalité industrielle dans notre société.
Bien sûr, tu as raison, Internet change les choses, mais la réalité économique, elle est massivement industrielle.
@Tisane,
Merci pour ton commentaire. Les théories de Rifkin commencent à dater. Et, comme tu évoques Internet, comment affirmer qu'il ne s'agit pas d'une industrie? A moins de considérer que les ordinateurs (qu'ils faut changer souvent et qui génèrent des déchets), les data center et l'électricité dépensé ne font pas partie de l'industrie?
Si j'ai avancé le mot "industrie" c'était en référence à Bernard Stiegler, fondateur d'Ars industrialis, une association qui traite justement de cette réalité industrielle dans notre société.
Bien sûr, tu as raison, Internet change les choses, mais la réalité économique, elle est massivement industrielle.
Moui... J'suis mitigée sur ton analyse. Le web de demain naitra des rêves d'aujourd'hui, comme le dit Cratyle et surtout, sans rêveurs, le monde n'avancerait pas (souvenez vous de la pub Renault "Ca ne marchera ja-mais !").
J'ai la chance de participer régulièrement à des réunions de passionnés, à des BarCamps ou des Open Coffee, et il ressort généralement de nos échanges beaucoup d'enthousiasme et d'utopie, certes, mais également des pistes que nous explorons et exploitons, chacun à notre façon.
Ce n'est pas en nous contentant des usages connus des outils que nous utilisons aujourd'hui que nous progresserons...
@Sophie,
Je pense que tu as raison. C'est donc que je n'avais pas tort d'écrie ce billet, puisque il m'a permis de voir plus clair sur cette question.
Mais je suis tout sauf un technophobe ou un pessismite: mon billet n'a rien d'agressif, non?
Rien d'agressif, non, mais l'utilisation du mot prophète sonne un peu comme une moquerie :)
Ah Ah ! Excellent.
Je fais partie des profondément optimistes / persuadés que la révolution internet va modifier l'ensemble du paysage non industriel.
Néanmoins, étant un professionnel du web, j'analyse de manière très critique les business model mis en place et la frénésie du web à tout prix. CAR le web n'a pas de modèle économique, mais plein de micro-modèles à adopter et adapter avec soin dans le cadre d'une stratégie spécifique. Et c'est là que le bât blesse : certains "prophètes"prônent des usages excessifs, du "bullshit techno commercial" sans s'inscrire dans une démarche de manager, avec budget et comptes à rendre.
De fat, je m'inscris dans les optimistes réalistes ;-), et les clients et projets que j'accompagne en sont très satisfaits.
Optimiste réaliste: je souscris à ta formule!
Eric,
Là je t'arrête, le vocabulaire de la croyance est inséré depuis quelques années dans le marketing et la publicité, regarde les dernières pubs TV, écoute les derniers messages publicitaires, elles ont toutes adopté ce vocabulaire et utilisent toutes les couleurs de l'arc en ciel, des chakras, mieux, les livres blancs en ligne le mentionne, nous sommes dans l'ère du verseau, les entreprises développent le marketing vert, le marketing "bien être" qui a aussi ses propres codes, on est en plein dedans !
Les messages visuels et auditifs collent très bien , ça passe comme une lettre à la poste, je les étudie actuellement ;-))