A voir sur Uaddit.
web 2.0
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Dans les bureaux des start up web 2.0 (photos)
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Carnet et stylo: les meilleurs outils du web 2.0
Mise à jour (jeudi, 11 h 40): encore un carnet, celui de Marc. Et Filaplomb n'a toujours pas envoyé le sien.Finalement, il n'y a pas mieux qu'un stylo et un carnet.Ce sont les meilleurs outils web 2.0, écrit Tariq Krim (fondateur de netvibes).Ces outils sont toujours sur moi. J'y note des listes de "billets à faire", des impressions, des citations, des titres de bouquins, des numéros de téléphone...Donatien a un beau carnet (et de saines lectures). Si vous le voulez, envoyez-moi une photo: je la publierai! -
J'ai retiré un billet: mille excuses
Vous avez peut-être remarqué que j'ai retiré un billet de ce blog.
Il parlait de vidéos diffusées actuellement , vues des millions de foi sur youtubes. Ces vidéos montrent des personnes regardant une vidéo (c'est clair?). Leurs réactions font comprendre que la vidéo en question est absolument dégueulasse, à gerber.
Et comme plusieurs lecteurs m'ont dit être choqués par cette vidéo (que je n'ai pas montrée sur mon blog, je le précise), j'ai retiré le billet.
Sur Internet on est toujours à un clic du bonheur. Ou à deux clics d'une grosse saloperie. C'était le cas.
The Cult of the Amateur
Dans ce cas, pourquoi avoir abordé ce sujet?
Tout simplement pour montrer jusqu'où peut aller l'absence de licence, de retenue, bref de "morale", si l'on veut dire. Puisque je critique les grands médias, il faut aussi critiquer les médias sociaux.
Il se trouve que j'étais en train de préparer un billet sur The Cult of the Amateur, un bouquin dont vous avez certainement entendu parler. La thèse centrale est justement que le net conduit à ça, à la pornographie, au ragots, à l'insulte, et plus généralement, à la médiocrité, à l'insipide, à l'inintéressant.
Ce livre est devenu la bible des journalistes français lorsqu'ils parlent des blogs. Internet = rumeur pour Laurent Joffrin (Libération) mais aussi BHL et autres beaux esprits (chez Versac).
Les blogueurs ont-ils mérité qu'on les critique à leur tour?
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C'est chronophage le web
Amusante, la liste des 10 choses à ne pas faire, publiée par ce blogueur influent et, visiblement, influencé…
Ne pas trop lire ses mail, ne pas trop utiliser twitter ou netvibes, ne pas cliquer à tout va, etc.
Jusqu’où Internet est un allié, un outil, pour devenir un piège chronophage, et dans certains cas une addiction ?
Lire aussi
- Un petit test pour savoir si vous êtes accro au web 2.0
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Si chat vous tente
J'ai inscrit Léo sur Unitedcats. Ce réseau social pour félin compte 800 membres. Si chat vous tente, inscrivez le vôtre!
A ne pas confondre avec Uniteddogs.
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Nouveaux médias, nouvelle hiérarchie de l'info
Les nouveaux médias bouleversent la hiérarchie de l’information.
Précision: les « nouveaux médias », ce sont, par exemple, les médias sociaux du type digg.com (mais aussi les blogs).
Sur ces sites, l’info est classée selon les votes des internautes. Aujourd'hui, le n°1 sur Digg est un clip qui apprend à faire un avion en papier.
« Les articles en Une des « médias sociaux » sont très différents de ceux des sites des médias traditionnels. Les sujets sur la technologie abondent ainsi que des histoires humoristiques, bizarres et insolites, tandis que l’économie, la politique et les infos internationales sont rares. » (The Economist).
Aux anciens médias les infos nobles, aux nouveaux les infos « ignobles ». Les blogs suivent cette tendance.
Il y a pourtant des exceptions. Ainsi le mot le plus recherché sur technorati aujourd’hui est « Pinochet », qui fait aussi la Une des journaux.
Mais Britney Spears est n°2 et les tags les plus utilisés sont shopping, Noël (Christmas), youtube, Pinochet, Irak, Israël, wii, etc. Autrement dit, les nouveaux médias inventent une nouvelle hiérarchie de l’information, sans détruire totalement de celle des anciens médias.
En plus:
Combats de titans dans les nouveaux médias en ligne (Zdnet).
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Discuter sur Internet
Sur le net, les gens discutent. Et pas seulement sur les blogs. Il y a les forums, les chats, les groupes de discussion…
Voici la liste des principaux lieux de discussion sur Internet. Elle a été établie par Cédric Motte du site chouingmédia :
- Le forum
- Le blog
- Le chat, encore appelé « messagerie instantanée »
- L’IRC (discussion relayée par Internet)
- Les newsgroups, ce que wikipédia traduit par « usenet »
- L'ICQ
- Les livres d’or
- Les sites modernes incluant des commentaires mais n'étant pas publiés via une plateforme de blog
On peut ajouter les wikis et les sites du genre de Yahoo question/réponse.
On peut aussi lire une liste très complète publiée par Fred Cavazza. Merci à lui ainsi qu'à Cédric d'avoir répondu à mes questions. Je lis régulièrement leurs blogs via original signal.
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Web 2.0
Dessine-moi le Web 2.0. C’est un blog collectif, "un Agoravox sur le web 2.0", selon Vincent Abry.
Sur le même sujet, on continuera à consulter Original signal, plateforme regroupant 15 sites. A lire aussi, 13 livres gratuits sur le web 2.0.
Intéressant aussi: chainki, un annuaire de liens.
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Tariq Krim roi du web 2.0
Le roi du web 2.0 c’est pas Loïc. C’est Tariq. Tariq Krim, le créateur de netvibes. Il est chez Jean-Michel Billaut. Dans 5 ans il aura racheté google. Ou le contraire.
Personnellement, j’utilise netvibes pour les flux RSS. Avec ça, je surveille 50 blogs du coin de l’œil comme le lait sur le feu. Netvibes c’est une grande casserole…
En plus:
Amusant: newsmap, toute l'info sur une page
Techno: original signal, des infos sur le web2
Politique: le buzz de la présidentielle et le débat d'idées
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Tibet réel, France virtuelle
Le Festival du Tibet et des peuples de l’Himalaya s’est déroulé il y a quelques jours dans le bois de Vincennes, à Paris.
Et j’avoue que les Tibétains m’ont surpris. J’attendais des hommes la tête dans les nuages, des bonzes en lévitation, bref, de purs esprits. Au lieu de ça, j’ai vu des gens concrets, pragmatiques, les pieds bien sur terre. Ils vendaient des tissus, de l’encens et des objets artisanaux. Un restaurant proposait de la nourriture tibétaine. Le tout était parfaitement organisé.
Finalement, je me demande si ce ne sont pas nous les Français qui avons la tête dans les nuages. La faute à Descartes, peut-être. Nous avons la manie de tout analyser, de faire des plans, de tout réduire à des idées et de gérer la vie de façon administrative. Et la passion de l’administration, elle touche aussi les entreprises privées...
Comment remettre les pieds sur terre ? Comment passer du virtuel au réel ? En étant attentifs aux détails, peut-être...
Visionnez ce petit film. On y voit le Dalaï Lama reçu dans une université américaine.
Soyez attentif à deux détails.
Premier détail (après 30" de film) : le Dalaï Lama rompt le cérémonial en faisant coucou à la foule, ce qui fait rire ce public guindé.
Deuxième détail (après 2' 45" de film) : il refuse de serrer la main du maître de cérémonie. Geste qu’on peut qualifier de mal poli. Mais ce n’est pas si simple.
Qu’est-ce que je conclus de ces deux détails ? Rien, justement. J’essaie de ne pas être trop Français.
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Le web 2.0 en quelques clics
Le web 2.0, c'est tout nouveau. Mais déjà, ses partisans et ses adversaires s'opposent. Voici quelques exemples de sites web 2.0 et, en fin d'article, des liens vers des sites qui font le tour de la question.
Plutôt que de définir le web 2.0, le mieux est de donner des exemples. Vous connaissez Dailymotion , Netvibes, Wikio ? Ce sont des sites français du web 2.0. Digg, Marktd ou Original signal viennent des USA.
Petite pose. Faites le test Etes-vous branché 2.0 ?
Les sites web 2.0 se présentent généralement comme des portails ou des agrégateurs. Ils laissent une plus grande place à l’utilisateur. C’est souvent ce dernier qui fournit le contenu, selon le principe de l’auberge espagnole : chacun apporte son repas et après on partage. Sauf qu’avec le web, l’auberge est un peu plus grande…
Au niveau visuel, le web 2.0 se veut attrayant. Couleurs pastels (voir logo), bordures arrondies, grosses icônes, polices de grande taille: tout est fait pour le confort de l'utilisateur.
« Les partisans de l'approche Web 2.0 pensent que l'utilisation du Web s'oriente de plus en plus vers l'interaction entre les utilisateurs, et la création de réseaux sociaux rudimentaires, pouvant servir du contenu exploitant les effets de réseau, avec ou sans réel rendu visuel et interactif de pages Web. En ce sens, les sites Web 2.0 agissent plus comme des points de présence, ou portails web centrés sur l'utilisateur plutôt que sur les sites web traditionnels », explique-t-on dans la page wikipedia consacrée au web 2.0.
L’avis des blogueurs
Jean-Claude Billaut est enthousiaste après un voyage aux Etats-Unis : « Je dois dire que je suis impressionné, que dis-je atterré, par ce qui se passe là-bas dans ce qu'il est convenu d'appeler maintenant le Web 2.0... C'est un véritable tsunami qui va toucher tous les secteurs d'activité... Cela explose dans tous les coins (même dans le secteur bancaire avec prosper.com, Zopa en Angleterre...)... d'autant plus que cela ne nécessite guère de capitaux... en tout cas moins que dans le Web 1.0... »
Laurent Gloaguen (Embruns) est dubitatif: « Les deux caractéristiques essentielles du Web 2.0 sont son absence de définition (ce qui tendrait à prouver son inexistence concrète, voire sa totale vacuité) et la spéculation (Bubble Revival). J’ai l’intuition que s’il y a des révolutions à venir sur le Web, elles ne naîtront pas du tout dans le champ où tous les regards sont braqués. »
Versac préfère s’amuser de la notion de web 2.0 en imaginant un « rebranding » cocasse de son blog.
Esclavage 2.0
Le blog Caveat Emptor est plus critique: "Le développement coopératif, la mise en mouvement de milliers de cerveaux préexistaient à cette nouvelle ruée entrepreneuriale. Des forums au web, des logiciels libres aux blogs, des Creative Commons aux listes de discussions, l’Internet s’est construit sur ce mode partageux. Là où l’on tique, c’est de voir débouler des centaines de chercheurs d’or se posant l’éternelle question: comment vais-je faire du pognon avec ce chaos prolifique?"
Karl Dubost va jusqu’à parler d’esclavage 2.0.: "Toutes les entreprises du Web 2.0 sont là pour faire du commerce, pour exploiter vos données personnelles afin de les faire fructifier, parfois même en vous faisant payer. Technorati ne respecte pas le robots.txt, Google se sert de votre contenu pour faire des revenus publicitaires, même si votre contenu est sous une licence d’utilisation non commerciale, etc. Il faut arrêter de prendre les gens pour des imbéciles. Utiliser les concepts de liberté, de créativité, de beaux sentiments, de communautés pour mieux vous abuser, pour mieux pomper tout ce qui fait de vous un consommateur bien identifié est une arnaque."
En savoir plus
Dossier sur le web 2.0 sur Journal du net
Une vidéo (en anglais) expliquant ce qu'est le web 2.0
Le meilleur du web 2.0, selon le blogueur Dion Hinchcliffe.
(Logo: "Crise dans les média" en version 2.0, obtenu grâce au générateur de logo Msig.)
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Le web 2.0 c'est ça!
Le web 2.0 c'est ça: c'est Georges Marchais et Louis Aragon regardant la Joconde à moustache de Marcel Duchamp, tableau dont le titre est L.H.O.O.Q.
C'est ma définition du web 2.0. Et quelle est la votre?
PS: En ce moment je prépare un petit dossier sur le web 2.0. Cette note c'était pour patienter et avoir votre avis. Important, votre avis. Votre avis 2.0!
(Photo trouvée sur le très bon site Inventaire-invention.)