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Les Sourire du Tao (8): n'oubliez pas de respirer

Les techniques de respiration font partie intégrante de la philosophie taoïste. Sans entrer dans les détail, "n'oubliez pas de respirer" me paraît être un bon conseil. Respirer, prendre son temps, faire les choses comme il se doit, sans précipitation...

Les art martiaux, le bouddhisme, le yoga s'intéressent aussi à la respiration. Mais le taoïsme est particulier. Selon wikipedia: "Les chinois ont une métaphysique et une technique différente. Ils cherchent à retenir le souffle le plus longtemps possible. Cette apnée a des effets psychotropes différents, accompagnés de représentations. L’air, le Qi, est considéré comme la substance de tous les corps. L’adepte, en respirant, régénère sa matière, avec un accompagnement mental de la sensation d’air dans une anatomie sentie, la circulation du souffle. Un occidental peut se faire une idée de ces exercices avec la sophrologie, expérimenter l’effet à long terme demande un engagement plus important."

Ces techniques sont-elles applicables à nos modes de vie occidentaux? Peut-être pas. A l'époque où je faisais des compétitions d'échecs, je faisais des exercices respiratoires. C'était très empirique. Mais, depuis, je reste convaincu de l'importance de bien respirer, de façon consciente et ample...

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Commentaires

  • Il est vrai que prendre son temps, savoir faire les choses calmement et ne pas chercher à 'gagner' du temps, ce sont bient des chose dont nous avons besoin !

  • Ouh la la, j'ai du boulot !

  • J'ai fait du yoga étant jeune et de la sophro plus tard. Ce travail sur le souffle est vraiment tres apaisant, voire reconstructif…
    Il faut dire aussi que cette concentration sur le souffle entrant et sortant sert aussi à la détente tout simplement. Ca permet de faire le vide mentalement…
    :-)

  • la grenouille au fond du puits ne saurait parler de l'océan, enserrée qu'ele est dans son trou.L'insecte qui ne vit qu'un été ne saurait parler du gel, limité qu'il est à une seule saison. L'intellectuel borné ne saurait parler du Tao, prisonnier qu'il est de ce qu'il a appris.
    le tchouang tseu , chapitre 17

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