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  • Moins de publicité pour les magazines

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    Un des éléments de la crise des médias, c'est la difficulté pour les journaux de trouver des annonceurs.

    C'était expliqué, notamment, dans l'émission d'Arte "Les grand magazines" (à revoir en extrait).

    Le problème, pour les magazines de news (tels que Time, Newsweek, par exemple) c'est qu'ils parlent trop souvent de guerres, de drames, de mort.

    Les Etats Unis sont engagés dans des guerres, trop nombreuses, depuis quelques années. Et toutes ces guerres, il faut bien les montrer. C'est pas beau. Et il y a de moins en moins d'annonceurs qui veulent coller leurs pubs à côté de ces images tragiques. Morale du capitalisme.

    Et, donc, les médias doivent trouver des infos plus compatibles avec les annonceurs. C'est le cas de nos sympathiques astronautes qui ont marché sur la Lune il y a 40 ans. Louis Vuitton a d'ailleurs engagé des astronautes mythiques pour une de ses pubs (photo).

    Moins de publicité et moins de lecteurs

    En France, aussi, on note une baisse du volume de publicité dans les magazines. Selon Le Monde, "la baisse affecte toutes les familles de la presse magazine. Depuis le début de l'année, les recettes publicitaires ont chuté d'environ 20 %. Chez Lagardère Active, qui affirme "mieux résister que la concurrence", la baisse est estimée à 15 %. Chez Prisma, elle serait du même ordre".

    "Les familles de magazines les plus touchées sont celles du secteur décoration, directement affecté par la crise de l'immobilier, et des hebdomadaires télés, qui ont vu partir de gros annonceurs, comme les établissements de crédit à la consommation."

  • Le "bon" consommateur

    Ce blog "financier" (en anglais) commente un film intitulé "Le Bon consommateur".

    Le bon consommateur, c'est celui qui consomme beaucoup et qui épargne peu.

    Et on nous dit que la survie du système exige que nous consommions. Mais on réussi à nous faire croire aussi que c'est pour notre bien. Ce qui se résume au slogan: Consomme pour être heureux!

    Voici la conclusion:

    "De toute évidence, le film en son entier est un exercice d'ironie. Il cherche à vous dissuader d'être consumériste, non à vous y encourager. Le style de vie consumériste semble moins attractif quand on reprend le contrôle de ses finances. Quand vous apprenez que vous pouvez vous satisfaire de ce que vous avez, vous vous tracassez moins de ce que vous n'avez pas."

    Source de la video:

    Bonefire of the brands _ un site lié au livre du même nom, écrit par Neil Boorman.

    Le blog de l'auteur.