(Texte généré de façon semi aléatoire à partir d'une interview du philosophe allemand Peter Sloterdijk)
Les journalistes sont des marchands de tulipes...
Ceux qui ont passé leur jeunesse en grands consommateurs de la publicité sont capables de s’immuniser contre cette invasion permanente
c’est la raison pourquoi cette subculture, la subculture de l’attitude cool appartient aujourd’hui au courant des Lumières
mais ce n’est pas une appartenance argumentative
c’est une appartenance au niveau des attitudes...
L’attitude cool contient déjà en elle-même la fascination parce qu’on refuse cette croyance en la séduction par le produit
c’est l’attitude de base de cette méchanceté cool qu’affiche une certaine partie de la jeunesse contemporaine...
L’Union soviétique était une grande entreprise de public relations qui a vendu un produit qui s’appelait Révolution russe
et il était plus facile de trouver des acheteur en dehors de l’Union soviétique...
Le stress c’est un système endocrinologique qui est fondé sur le fait qu’on peut libérer en quelques secondes une énorme énergie en coupant tous les systèmes organiques dont on n’a pas besoin...
En tant qu’animaux nous sommes des "antologues"
et l’antologie c’est la croyance en la présence de l’ennemi...
Le journaliste est le prototype de l’homme porteur d’un message zéro...
Le journaliste est précisément celui qui se déclare prêt à transporter une information, mais c’est pas la sienne...
Ce sont des fonctionnaires de l’information ou des câbles vivants... La démocratie c’est sous un certaine angle de vue le retour du tribalisme à l’échelle de l’Etat nation...
Le gossip c’est une sorte de totalitarisme communicatif qui submerge tout l’espace public par ce qu’on a entendu dire...