Bon, pour l'instant je n'ai rien de plus à dire, de crainte de participer, moi aussi, joyeusement, innocemment, bêtement, machinalement, à la destruction du sens.
Cette phrase de Jean Baudrillard est extraite de Simulacres et simulation, un livre publié en 1981, disponible sur Google books dans une traduction anglaise.
Ca vous inspire quoi?
Commentaires
C'est très vrai. La somme d'information ingurgitée chaque jour par chacun d'entre nous excède certainement tout ce qui a pu être reçu dans toute une vie, il y a encore peu de temps, et pourtant pour beaucoup, il semble qu'il y a très peu de direction à leur vie, aucun sens donné à ce qu'ils poursuivent, et la somme de commentaires qui ne mènent à rien (dans le sens d'un progrès de notre compréhension du monde ou de la vie) est monumentale.