(Ce billet est écrit en partenariat avec Courrier international)
Taoufik Ben Brick, opposant tunisien, est actuellement emprisonné dans son pays, en attente d'un jugement. Accusé de violences contre une automobiliste, il affirme être victime d'un complot politico-judiciaire.
Dans sa cellule, il a composé un poème, adressé au juge, mais aussi à tous ceux qui pourraient prêter attention à son cas, et à la situation des Droits de l'Homme dans son pays. A lire sur le site de Courrier international.
photo: © AFP
Commentaires
Je ne vais pas faire ma polémiste à 2 francs, mais j'attends l'avis d'Eric Raoult, lui qui connait si bien les droits et devoirs des écrivains, et qui est président de je ne sais plus quoi au sujet de l'amitié franco-tunisienne, asso qui lui permet de gloser à loisir sur les qualités de son ami Ben Ali.
C'est vrai qu'on ne parle beaucoup de la des problèmes de liberté d'expression en Tunisie, on stigmatise rapidement d'autres pays qui ne pas "amis amis". Mais quand des intêrets sont en jeu, c'est autre chose.
En tout cas, le poème est magnifique.
inlassable cet homme!! il se peut aussi qu'il ne soit pas vraiment innocent, il est plus malin que de se faire prendre dans un piège!
pour le poème, magnifique, reflet de son état d'âme de prisonnier, mais ce n'est pas aussi pire que ça ici, le scorpion pique celui qui l'aide à sortir du feu, nos autres tunisiens, on le laisse bruler seul, à la fin le scorpion tourne contre lui même son dard empoisonné, c'est passif, mais on nous a transmit dans les gênes la lâcheté, l'individualisme, qu'on appelle tous ici la sécurité, on ne veut plus se battre pour changer la vie, on veut seulement la vivre telle qu'elle est, et on peut satisfaire ce besoin dans la réalisation de changement à petite échelle, mais un homme seul contre un système, ça fini mal pour l'homme.