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Les contenus à l'heure de l'abondance

Dans la vidéo qui suit, Michel Lévy-Provençal donne un point de vue intéressant sur l'impact d'Internet sur la diffusion d'oeuvres et d'informations. Sur Internet, explique-t-il, l'information n'est pas rare mais au contraire trop abondante. Ce qui a de la valeur, la plupart du temps, ce n'est pas l'information elle-même, mais c'est l'information filtrée, sélectionnée: celle qui a de l'intérêt pour vous. Cela implique un bouleversement de l'économie de la diffusion des oeuvres et de l'information.

Commentaires

  • je t'ai cité (une fois de plus!)

  • Très très intéressant ! Je ne connaissais pas Mikiane et c'était une grosse lacune. Merci Eric.

  • Jolie (et longue) démonstration. J'ai tout de même un problème avec la phrase "Financer un contenu, c'est assurer sa qualité" : de quelle qualité parle-ton ? Si c'est de la production, je veux bien le croire, si c'est de la qualité intrinsèque, ce n'est pas forcément vrai (sinon, toutes les émissions de TF1 seraient des bijoux).

  • Salut Eric
    j'ai repompé ton post chez moi, c'etait l'occasion de faire un lien vers toi et de dire tout le bien que je pense de ton blog.
    J'ai une amie à l'AFP qui a été emballée par cet excellent film de Mikiane... Je crois qu'il faut en faire la publicité auprès du plus grand nombre.

  • @rimbus,

    Merci de m'avoir cité, mais, effectivement, l'intérêt réside surtout dans l'excellent travail de Mikiane.

  • Bof, comme si avant internet il n'y avait jamais eu besoin de chercher une aiguille dans une botte de foin...
    Je trouve que le raisonnement fait du surplace : quitter une économie de la rareté pour retrouver la même quête l'inflation en plus.
    Ce serait plus bouleversifiant de se débarrasser de la quête. ;)
    Lo.

  • @Laurence,

    C'est vrai, tu as raison: l'économie de l'abondance est une économie de la rareté et même pire: plus la botte de foin est grosse, plus il est difficile de trovuer l'aiguille.

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