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L'utilisation de Twitter pour un quotidien régional

Une journaliste du site du Berry républicain explique l'usage qu'elle fait de Twitter. Twitter permet notamment de repérer les lecteurs dans son voisinage (géolocalisation avec la fonction “nearby” sur l’Iphone). Une façon d'entrer en contact personnalisé avec une cinquantaine de lecteurs (pour le monent):

"Pour avoir la possibilité de rendre plus vivant l’outil, il faut déjà remplir la cage aux oiseaux, à notre modeste échelle berrichonne. Certains internautes viennent d’eux-mêmes, d’autres sont attrapés d’un coup de filet magique appelé “follow”. Neuf fois sur dix, le following devient follower. Il y a aussi la classique tactique qui consiste à voir ceux qui suivent les followers de @leberry_fr, ce sont des clients potentiels.
Autre stratégie, la fonction “nearby” sur l’Iphone, qui fonctionne par géolocalisation. Il faut juste éliminer les Allemands et les Hollandais de passage à Bourges et qui ont tweeté sur les charmes de la cathédrale. Ils se repèrent à leur langue étrange.
A l’heure actuelle, une cinquantaine de personnes nous suivent, des particuliers, des entreprises".

Commentaires

  • Elle a un iPhone ? C'est pas une pigiste alors ?
    :-)))

  • Mon journal régional a lancé son compte Twitter il y a deux semaines. 53 following (essentiellement des journaux du même groupe de presse et quelques organismes officiels locaux, mais pas le ministre du coin), 72 followers (où on retrouve en partie les premiers, plus quelques personnes privées, disons une trentaine et hors de la région pour la plupart). Cela me semble très faible pour un bassin de population d'un million d'habitants. Pour que cela ait un intérêt, il faudrait que ce journal soit suivi par plusieurs centaines de personnes dans Twitter. Mais c'est seulement le début.

    Là où j'ai vu l'intérêt de Twitter au plan micro-local, c'est lors de la manifestation des agriculteurs, je devais traverser plusieurs fois la ville pendant ce temps : j'étais plus vite averti des déplacements et des actions que si je m'étais branché sur les deux stations de radio régionales et je savais plus de choses que si j'avais écouté radio-couloir. Mais c'est un avis d'utilisateur d'informations et non celui d'un fournisseur d'informations.

  • @Dominique,

    Une cinquantaine de Twitter pour un million d'habitant, c'est peu. Mais moi, sur Le Mans, on est deux ou trois à twitter! J'ai un mal fou à détecter des voisins!

  • Twitter n'est pas encore connu du grand public malgré l'impression que ca donne. Il faut un peu de temps. Je possédais mon ancien compte Twitter depuis 2 ans, et je l'ai laissé tombé après mon inscription, car je ne trouvais aucun intêret.

    C'est par l'atelier des médias de RFI que j'en ai de nouveau entendu parler, et j'ai compris sa puissance après un investissement de temps. Tout le monde préfère perdre du temps sur Facebook. J'espère que des programmes comme Google Wave et Mozilla Raindrop vont changer la donne.

  • Twitter et l'info locale : moi je l'utilise comme fil d'info (30 followers venus naturellement sans aller à la pêche - gaillac = 13000 hab). Twitter me permet de mettre en ligne des infos courtes ou des rappels d'agenda. J'en suis à plus de 600 twittes. Après un jour, j'aimerai bien l'utiliser pour mettre le conseil municipal en direct... Je pense aussi essayer de trouver un correspondant par village qui pourrait fournir un fil d'info local (notamment des infos pratiques).
    @gaillacinfo et @xophe

  • @Christophe,

    Merci de ton commentaire.
    Pour Twitter le conseil municipal, c'est périlleux...

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