L'Ambassade américaine à Paris décrit l'élite des journalistes français, dans un document publié par WikiLeaks, cité par Emmanuel Paquette (L'Express):
"Les "top journalistes" sont souvent issus des mêmes écoles élitistes que de nombreux chefs de gouvernement. Ces journalistes considèrent que leur premier devoir n’est pas nécessairement de surveiller le pouvoir en place. Nombre d’entre eux se considèrent plutôt comme des intellectuels préférant analyser les événements et influencer les lecteurs plutôt que reporter des faits".
Commentaires
il suffit de lire et d'écouter les commentaires de cette soi-disante élite sur WikiLeaks. forcément du côté du pouvoir, forcément "responsable". Un journaliste qui s'horrifie qu'on publie des informations mérite t-il le titre de journaliste ? ce ne sont que des bonimenteur bavardeurs, rien de plus.
Incroyable ce qui est ici sous-entendu!
Je cite Albert Londres :« Je demeure convaincu qu'un journaliste n'est pas un enfant de chœur et que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée dans une corbeille de pétales de roses. Notre métier n'est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie ». Les propos de l'ambassade sont lapidaires, ils s'adressent je pense aux seuls journalistes politiques. Il eut fallu aussi différencier le journaliste d'investigation qui met en lumière et analyse du correspondant journaliste qui rapporte des faits. Bref, quand le but de toute source d'information sera d'informer clairement et honnêtement, non de noyer dans le sous entendu les lecteurs, nos neurones cesseront de moisir...
@Louvero,
Effectivement, l'analyse est essentielle.
Félicitations pour ce site fort agréable à parcourir.
Bonjour ;
il est sympa ; votre site ! Beaucoup de choses à voir et à savoir… je le mets dans mes favoris, et je reviendrais sûrement.
Bonsoir,
un petit mot pour vous dire que j’adore votre blog, alors je ne me prive pas !