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Commentaires

  • c'est vrai que les efforts se doivent d'avoir une récompense, meme symbolique. Hélas, ce n'est pas forcement nos billets les plus construits qui amènent le plus de retours...

  • Merci Eric. Billet très instructif. Je l'ai lu en entièrement, l'ai mis dans mon marque-pages et compte le faire circuler pour la pédagogie qu'il contient.
    Pour moi écrire est important. Ca me libère et j'en suis heureux. Soulagé. Ensuite vient la question du nombre de personnes qui lisent ou ne lisent pas mes billets. Je l'ignore et, à vrai dire...
    Bien sûr, les commentaires sont importants. En qualité et en nombre. En ce qui me concerne le décompte est rapide : pas grand-chose. Écrire des choses sur les livres, qui ça intéresse ? Si ça intéresse quelqu'un je ne suis pas au courant ou pas beaucoup. Le cercle est restreint.
    En revanche cela m'a permis de connaitre quelques personnes que j'apprécie grandement.
    Voilà.

  • C'est normal. Un billet très bien construit n'apportera pas spécialement de discussions construites. Car pour commenter il faut un angle d'attaque pour rebondir, argumenter, contredire etc... Donc un billet sans commentaire est peut être un excellent billet.

  • Très intéressant billet comme tous ceux publiés sur les blogs en général... Etant encore novice en la matière, je m'instruis...
    Après, effectivement, comme le dit le com précédent, on peut être très content d'un texte et qu'il soit moins ou pas du tout lu (ou du moins pas commenté si on n'est pas très stat) est dommage mais bon, tout dépend ensuite de ce que l'on attend réellement n'est-ce-pas ?
    Personnellement, le blog c'est d'abord pour me faire plaisir mais il est vrai qu'il y a une vraie satisfaction à entreprendre des relations (virtuelles certes mais pourquoi pas) avec des personnes suite à des échanges de commentaires sur nos blogs respectifs...
    Maintenant ayant peu de temps à consacrer à l'écriture car contrairement à ce que tu suggérais sur un post précédent, JE LIS BEAUCOUP (parce que c'est mon truc) de blogs, les 3/4 des actions à entreprendre pour qu'un blog puisse (je twitte aussi à l'occasion... :D) rapporter si c'est le but recherché, m'ont quand même l'air sacrément chronophages non ? Est-ce qu'il n'y a pas un risque d'obsession à la longue qui peut finalement détourner le blogueur de son but premier qui est tout de même de NOURRIR le bébé ?
    Quand au 23.Rien, je ne suis pas encline à y souscrire car on a TOUJOURS un retour pour peu que l'on parle de son blog aux gens. J'en connais qui lisent mon blog et qui préfèrent ensuite (puisque nous nous connaissons) discuter de mes posts EN DIRECT parce que le net n'est pas trop leur truc ou simplement parce qu'ils trouvent plus sympa de d'en faire un sujet de conversation et d'échanges... Et rien ne vaut un peu de chaleur humaine n'est-il pas vrai ?
    Un dernier point et je laisse la place : qu'entends-tu par "ce qui est publié sur facebook est à eux ? J'utilise Networkedblogs pour que mes amis puissent lire en direct mes posts sans sortir de FB mais je considère que je peux retirer ma page et/ou des articles quand je le souhaite...
    A bientôt

  • Désolée pour le "sympa de d'en"... le "d'en" suffira merci :)

  • Quitte à jouer les modestes ;-) le blogue peut aussi apporter la reconnaissance de son engagement et d'être considéré comme un acteur à part entière (même si en tant que "blogueur") dans un débat. Ouvertures de portes de la part des acteurs de ce débat, invitation à des événements, réunions, séances de travail, assimilation du blogue à un média, invitation à des événements presse, coup de fils, infos passées, etc.

    et parmi tes rubriques, il manque celle qui me rend le plus fier : être cité dans des ouvrages publiés sur le sujet thème de mon blogue, être invité à animé un séminaire sur l'urbanisme dans une grande école d'architecture, etc.

  • ëtre invité à animer ! horreur, désolé... mais je crois que le titre de ta note mérite aussi une relecture ;-)

  • et pour vraiment finir de parler de moi et mon blogue, le "revers de la médaille", la non reconnaissance par la blogosphère : après avoir longtemps végété dans les 2000 je suis maintenant classé 4974ème par Wikio dans la catégorie "Général"... et ça me fait marrer ;-)

  • Bonjour,
    J'ai eu du mal à comprendre le titre de ton billet et c'est ce qui m'a incité à le lire !
    Très instructif ! Merci !
    CC

  • je dois avouer que ce que je préfère ce sont les commentaires... les courriels ça me déstabilise, j'ai d'ailleurs mis trés longtemps avant de mettre un amil "facilement" accessible (sur mon profil, faut vraiment le vouloir

    euh par contre les gens, si vous voulez me faire des donc : pas de problèmes ! je suis fan des gadgets mac do et quick, des figurines kinder et de milliers de petites choses comme ça qui m'encombrent mes sacs à dos et poches :)

  • Je me demande s'il y a de quoi se réjouir, ou flinguer son blog, à lire ton billet?

  • Une question : c'est quoi ces liens dans ton billet qui mènent à la page d'accueil de blogues (que je lis certes mais) qui ne sont pas en lien direct avec le propos qui les lie ?

  • Et maintenant une réponse à une des questions que tu as posée : "est-ce que les blogs ne sont pas en danger, en raison de la prolifération de ces services (Friendfeed, mais aussi Twitter ou Facebook) qui incitent à discuter en dehors du blog?"

    Pour moi, non, cela ne me gêne nullement que les commentaires soient éparpillés, parce que les différents lieux représentent différentes communautés. Je peux avoir envie de participer à la même discussion avec différents groupes de personnes, cela enrichira plus mon point de vue que si je reste à un seul endroit en fait. Or, je crois mordicus à la pluralité des points de vue !

    Le blogue peut alors devenir la synthèse du recueil de ces différents points de vue par différentes communautés, "remixée" par l'auteur du blogue, s'il prend la peine et le temps de la faire bien sûr, ce qui est rarement, je dois le constater, le cas.

    En fait, quand une enfilade de commentaires dépasse un certain nombre, pour ma part, je ne survole même plus, faute de temps.

  • @Romain,

    Oui, hélas!

    @lediazec,

    C'est ce que nous partageons: le plaisir d'écrire.

    @FredMG,

    Rien, c'est déjà beaucoup.
    Pour FB: essaie de supprimer ton blog si tu as choisi l'application de republication des flux RSS. Et lis le règlement de FB!

    @paris banlieue,

    Oui, cette reconnaissance, professionnelle (et sociale) au sens large va au-delà des quelques rubriques que j'ai développé. Je ne prétends pas à l'exhaustivité; chacun a son rapport particulier à son "média personnel".

    Quant à wikio, cela tient sans doute à la nature de ton blog: très spécialisé. Donc peu de blogs peuvent te linker régulièrement. Si tu faisais des billets "grand public" et polémique sur la banlieue, ce serait peut-être différent... hélas!

    @CC,

    J'ai longtemps réfléchi sur le titre et j'ai choisi le mot "chose" faute de mieux; du coup j'ai fait une faute ailleurs.

    Gaël,

    Merci de ton commentaire.

    @Le coucou,

    Pourquoi?

    @Otir,

    Les liens sont des clins d'oeil.

    "Pour moi, non, cela ne me gêne nullement que les commentaires soient éparpillés, parce que les différents lieux représentent différentes communautés. Je peux avoir envie de participer à la même discussion avec différents groupes de personnes, cela enrichira plus mon point de vue que si je reste à un seul endroit en fait. Or, je crois mordicus à la pluralité des points de vue !"

    D'un sens, tu as raison. Cela permet d'éviter le côté égocentrique du blog (un égocentrisme que je n'éprouve pas trop, personnellement, car je ne considère pas mon blog comme un lieu à moi, mais comme un carrefour, un point d'un vaste rizhome).

  • >Eric, pas mal de blogues et sites y compris de médias font des liens vers "Paris est sa banlieue", mais ils ne font pas partie du top de wikio, dont le classement reste endogame avec effet boule de neige ;-)

  • @jpc,

    C'est un fait, mais la hiérarchie boucge doucement. l est vrai qu'on est passé d'une logiqaue d'authorithy (technorati) à une logique de communautés.

  • Je vais être original : j'adore ce genre de billet... Merci... (rien à rajouter, sinon relire le billet...)

  • Eric, parce que, si je considère un à un chacun des 25 points, je n'en trouve guère qui m'apportent les satisfactions dont tu parles. Il faudrait que je relise: plus le temps… De mémoire: les commentaires sont rares chez moi. Les "réseaux sociaux" m'emmerdent, et quand je les observe (plusieurs fois par jour tout de même), la purée de réflexions ineptes qu'ils déversent à jet continu, me consterne. C'est de l'imposture élevée au rang d'utilité… (un détail pratique me revient, qui n'a pas grand chose à voir avec un jugement de valeur: l'imprudence de faire reprendre ses billets par Facebook quand on ne veut pas accorder le droit de piller… Rien que pour remédier à ça, vu mon enthousiasme et mon niveau informatique, il me faudra quinze jours… Comment rester enthousiaste?)

  • Tu as oublié le sommet quand même, la vraie consécration : la proposition d'édition en livre. Cela a été le cas de quelques auteurs de BD (Laurel, Frantico), de certains diaristes (journal d'une caissière par exemple), et c'est ce qui peut m'arriver bientôt si tout va bien.

  • @le coucou,

    "Les "réseaux sociaux" m'emmerdent, et quand je les observe (plusieurs fois par jour tout de même), la purée de réflexions ineptes qu'ils déversent à jet continu, me consterne. C'est de l'imposture élevée au rang d'utilité…"

    Pas faux! Internet c'est beaucoup de marketing.

    Et, concernant FB, j'ai été pris: je n'ai pas lu le règlement, comme tout le monde.

    @Dominique,

    Oui, tu as raison, j'ai oublié. C'est sans doute la consécration.

  • >Dominique, c'est marrant de considérer que le sommet est le retour au livre, comme si la reconnaissance devait passer par le papier, et que le média en ligne n'avait pas sa valeur propre ;-)

  • Crise dans les médias ? C'est drôle comment beaucoup de gens annonce
    des crises quand il ne s'agit que de changements de comportements.
    Le monde évolue et le temps reste limité (24 hrs) alors nous changeons
    nos priorités. Échanger sur les réseaux enlève du temps anciennement pris
    au téléphone puis enlever à nouveau sur la télé numérique.Dernièrement nous avons enlever une partie de recherches internet pur pour reprendre contact avec nos désirs et sentiments, voilà pourquoi les réseaux sociaux
    ont fini par prendre du galon,bien que cela demeure encore minimal.Maintenant, à savoir si le papier est plus fort en respectabilité ? Le support m'importe peu seul le message compte...non ? Là-dessus.....excellente journée! Denis

  • Etre édité : début d'une nouvelle carrière/réalisation d'un rêve secret pour un blogueur ou simple opération marketing parce qu'il n'y a pas de raison que certains n'en croquent pas de ce joli gâteau offert gracieusement par le Web2 ?
    Eric, merci de m'avoir rassurée... je n'avais même pas vu que sur FB y avait un règlement... ô l'autre ! :) pffffft

  • Etre édité : début d'une nouvelle carrière/réalisation d'un rêve secret pour un blogueur ou simple opération marketing parce qu'il n'y a pas de raison que certains n'en croquent pas de ce joli gâteau offert gracieusement par le Web2 ?
    Eric, merci de m'avoir rassurée... je n'avais même pas vu que sur FB y avait un règlement... ô l'autre ! :) pffffft

  • @jpc/parisbanlieue : Certes, on peut voir là une forme d'élitisme ancien, mais la publication d'un livre passe par des filtres sociaux, économiques et culturels (même dans le cas des livres à compte d'auteur puisqu'il faut payer pour être édité). Un texte sur la Toile peut valoir parfois bien mieux qu'une bouse immonde imprimée à des centaines de milliers d'exemplaires (pas de noms) et cependant il n'aura pas le même statut qu'un objet que l'on peut présenter dans un rapport plus social. Je peux accumuler des tas de fichiers sur une clé USB ou sur mon disque dur ou mon baladeur, cela impressionnera moins que la présentation des objets (disques, cassettes, cassettes, photos ou autres productions iconiques) que je possède et expose. Je peux être référencé par des institutions prestigieuses (et je le suis), il reste que l'objet livre (tout comme l'objet tableau, l'objet film, l'objet disque) demeure encore pour un temps au centre de ce qui constitue une autorité ou une forme d'échange. Tout n'est pas encore dématérialisé et les codes culturels anciens continuent à agir. On sait aussi que l'on a plus de chance de conserver les données d'un livre que celles d'un enregistrement analogique ou numérique, vu les changements techniques et les pertes des machines ou le vieillissement rapide desdits enregistrements. Qu'est-ce qui restera de notre mémoire quand nos hébergeurs auront fait faillite ou se seront fait racheter ou auront changé les clauses du contrat ou quand le nouveau système de navigateur, de traitement de texte ne pourra plus lire les textes anciens ?

    On a même un paradoxe nouveau, puisque le possesseur d'un livre, d'une image ou d'un son qui n'a pas été encore numérisé sur la Toile se trouve plus savant ou expert que celui qui ne connaît que celle-ci. Bien sûr, tout finira ou presque à être mis en ligne, mais nous continuons à vivre principalement dans l'ancien monde et ses valeurs et qu'est-ce qu'un micro ou un I-Pod sinon encore des objets que l'on exhibe ? J'ajouterai encore que ce projet de livre (dont la publication est assez incertaine encore) n'aurait pas été possible sans la Toile puisqu'il réunit un Français et une Chinoise séparés par six fuseaux horaires et que le livre serait édité en Chine continentale. C'est là le point capital : la Toile (et donc aussi les blogues) ouvrent bien des portes jusqu'alors inconnues, mais il faut voir aussi que l'on peut vouloir vivre ou créer des choses hors de l'écran. Et faire un livre, c'est ne pas dépendre de tous les systèmes d'encodage ou les OS ou les plateformes à venir qui pourraient brouiller notre passé. Parce que tous nos propos vaniteux sur la Toile disparaîtront et presque à coup sûr avant notre propre mort. Cela a déjà commencé.

  • Merci pour ce billet intéressant. Il ne faut pas oublier qu'à la base, on écrit pour le plaisir! :)

  • et ça, c'est pas rien...
    :o)

  • Oui, les commentaires, les citations ou liens, et les courriels sont vraiment sympa, je me dis que dans cet océan virtuel c'est assez miraculeux de susciter des réactions de sympathie ou un débat.

  • FredMJG : Etre édité : début d'une nouvelle carrière/réalisation d'un rêve secret pour un blogueur ou simple opération marketing parce qu'il n'y a pas de raison que certains n'en croquent pas de ce joli gâteau offert gracieusement par le Web2 ?

    Mais cela existait déjà dans le Web 1.0 qui est exactement le même que le Web 2.0 ! C'est d'ailleurs dans ce précédent Web que j'ai rencontré ma co-rédactrice puisque le mot blog n'existait pas dans le langage commun. On peut faire un projet sans avoir envie que ce soit une carrière, une rente ou un gâteau publicitaire, cela peut être juste un moyen de se faire plaisir avant de crever. Donner naissance à un enfant, planter un arbre, publier un livre sont les trois plus nobles tâches que peut accomplir un homme ou une femme dans son existence, et pourquoi y déroger ? Au nom de quoi ?

  • >Dominique, le livre, c'est pour se faire plaisir et mettre sur son étagère et l'offrir à sa famille et ses amis ? Ou alors le voir être diffusé largement et toucher des droits d'auteur, ce qui n'est pas le cas avec un blogue ?
    En fait je ne crois pas que l'écrit blogue fasse un bon écrit papier. Mais ce n'est pas le plus important pour moi. Je me considère comme l'auteur de mon blogue, et c'est le support qui convient à ce que je veux faire. Le papier me conviendrait aussi, mais dans un journal, tribunes ou chroniques. Je ne vois pas mon blogue dans un livre, un blogue c'est une dynamique, un rythme et l'interaction avec les lecteurs/commentateurs.

    En revanche, pour moi la réussite, c'est atteindre sa cible et être reconnu en tant que blogueur. Sinon, j'aurais directement écrit un livre, ce que je considère comme un possibilité.

    ps: je suis un addict au papier, qui imprime un max car je n'aime pas lire tout sur écran ! Quand la lecture est plaisir, tourner les pages, feuilleter un livre, ouvrir un journal, bien le déployer et le parcourir de haut en bas et de droite à gauche, ou le replier comme un complice pour pouvoir le lire dans le métro encombré, vive Gutemberg ;-)

  • et...la rencontre ? le truc de ouf , la libido renversée par l'ecriture ou le sensuel du blog....

  • @JP et Dominique,

    Je partage assez le point de vue de JP quand il écrit:

    "En fait je ne crois pas que l'écrit blogue fasse un bon écrit papier. Mais ce n'est pas le plus important pour moi. Je me considère comme l'auteur de mon blogue, et c'est le support qui convient à ce que je veux faire. Le papier me conviendrait aussi, mais dans un journal, tribunes ou chroniques. Je ne vois pas mon blogue dans un livre, un blogue c'est une dynamique, un rythme et l'interaction avec les lecteurs/commentateurs. "

    J'ai observé la même chose avec mon blog. Au départ, j'étais un peu un écrivain rentré, et puis je me suis apperçu qu'il était intéressant:

    1) de développer des idées au long court dans un format original (blog, donc hypertexte)
    2) d'interagir et d'avoir la réponse, le feedback, ce que l'écrivain, même à succès, n'a pas toujours

    Mais l'écriture d'un livre, c'est une possibilité jamais abandonnée.

  • Cher Dominique
    Loin de moi l'idée de me gausser des rêves et désirs de tout un chacun. Simplement, je respecte autant le web que tout autre média. Si certains souhaitent parvenir à l'objet écrit par l'entremise de leur blog, grand bien leur fasse ! De la même manière que des musiciens espèrent, et toucher un large public, et une reconnaissance professionnelle au travers de leur myspace.
    Je ne causais évidemment que de (certaines) maisons d'édition qui essaient d'exploiter - tant que ça marche - les nouveautés. Personnellement, je ne vois pas l'intérêt d'acquérir un bouquin qui reprendrait - comme cela s'est vu - des papiers blogués (accompagnés de surcroît de leurs commentaires)...
    PS. Et oui, avant de crever, j'ai ouvert un petit blog à but non lucratif sinon un plaisir très égoïste de partage avec mes amis (de la vie) et mes nouvelles relations (virtuelles). Chacun ses petits arrangements avec la vie.
    A vous lire

  • Et une dernière pour la route ! bravo Eric, plus de 33 commentaires pour une note au mois d'août ! ça c'est un succès de blogue, et qui montre bien que le blogue est un média en soi, et avec les autres !
    ps : tu vas continuer à te poser la question de l'utilité de bloguer au mois d'août ;-)

  • @Jp,

    Comparé aux autres années, j'ai l'impression qu'il y a plus de personnes qui bloguent. (Sans doute à cause du développement du wifi)

  • > Eric, ou moins qui partent ;-)

  • J'oubliais: la crise!

  • Restons optimistes...
    Beaucoup plus d'i-phones en circulation...
    :)

  • Je me fais prendre au piège de ton billet, à revenir commenter, ce que je n'aime pas! Je suis admiratif pour les débats que tu arrives à ouvrir, comme celui-ci, qui a suscité des points de vue sur l'écriture de qualité. Évidemment, l'écriture bloguesque n'est pas littéraire à priori —mais j'ai lu quelquefois des textes qui mériteraient l'adjectif. Surtout, l'intimité qui s'y déballe volontiers n'a rien de créatif, elle ne résisterait pas à l'épreuve du livre, où sa pauvreté sauterait aux yeux. Je comprends que tenir un blog fasse plaisir, je trouve formidable que l'on puisse éventuellement s'y épanouir, mais de là à penser que la relève de la littérature s'y prépare, il y a abîme… Ce qui évidemment, n'empêche nullement que des auteurs intéressants puisse y faire leurs premières armes…, mais pour les goûter, il faudra bien qu'ils sortent de l'écran et gagnent un support plus favorable au plaisir de lire, du papier par exemple.

  • @le coucou,

    D'accord avec toi. Et, d'un autre côté, l'écriture sur Internet ouvre à autre chose (mais il va de soi que ça n'a rien à voir avec la littérature, c'est plus proche du journalisme et, encore plus proche du bavardage).

  • JP : Dominique, le livre, c'est pour se faire plaisir et mettre sur son étagère et l'offrir à sa famille et ses amis ?

    Pas simplement. Il s'agit d'un objet qui peut posséder une valeur auprès de ses supérieurs ou lors de négociations de carrière ou tout simplement pour continuer à travailler (publish or perish). De mon côté, je sais que ce que j'ai pu commettre de sérieux sur la Toile est considéré comme néant par des gens qui ne voient que les publications sur papier.

    JP : Ou alors le voir être diffusé largement et toucher des droits d'auteur, ce qui n'est pas le cas avec un blogue ?

    Mais je n'affiche pas de pub sur mon blogue ou mon site ! En outre, les droits d'auteur en Chine vont être des plus minces et je vais les reverser comme ma collaboratrice. Enfin, le marché de la langue française en Chine est minuscule et difficile.

    JP : En fait je ne crois pas que l'écrit blogue fasse un bon écrit papier.

    Il faut énormément retravailler les textes (ou les dessins dans le cas des blogues BD). Le rapport avec le lecteur n'est plus le même, on doit être plus formel, s'autoriser moins d'incidentes ou de clins d'oeil ou d'appels de notes. Il n'est pas possible de passer d'un format à un autre tel quel (et c'est pourquoi j'ai toujours émis de gros doutes sur un journal comme Vendredi). C'est juste un autre travail qui commence.

  • >Dominique, il faut mieux choisir ses supérieurs !
    Plus sérieusement, c'est le fait que je sois blogueur avec une certaine reconnaissance qui m'a fait décrocher des contrats quand j'étais indépendant, notamment dans une grosse boîte qui voulait utiliser le blogue dans sa communication interne. Et de même c'est le fait que je sois blogueur qui m'a fait réintégrer l'entreprise aujourd'hui (une du CAC 40) dans laquelle je m'occupe de la transformation de l'intranet en intranet 2.0... et finalement, être blogueur en particulier et 2.0 en général, c'est atout professionnel non négligeable quand on passé (comme moi) la barre des 50 ans ;-)

  • JPC ; Dominique, il faut mieux choisir ses supérieurs !

    Difficile dans la fonction publique et encore plus dans l'enseignement, tout comme pour le choix de ses subordonnés. Je préfère ne pas parler des gens qui ont été choisis pour animer les sites académiques et de ce qu'ils ont fait en ligne. Juste un mot ; grotesque.

  • Une ressource vraiment complète et interessante, merci à l'auteur d'abordé le sujet et à tous les participant pour leur réaction, très utile pour tout blogger ou webmaster.
    En vous souhaitant bonne continuation je bookmark cet article !

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